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Greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille : Quels avantages ?

Il est possible d’effectuer sa greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille. C’est une technique dont le but est d’assurer plus de confort aux patients en limitant au maximum les douleurs qu’ils peuvent ressentir pendant et après l’opération.

Cette méthode, parfaitement adaptée aux patients ayant peur des aiguilles est rendue possible grâce à l’utilisation d’une technologie de pointe. Elle présente de nombreux avantages entre autres liés à la rapidité de l’intervention et à celle du processus de guérison.

Découvrez dans les détails le fonctionnement et les avantages d’une greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille.

Quels sont les avantages d’une greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille ?

Le principal avantage d’une greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille est qu’elle permet de réduire les craintes des patients ayant la phobie des aiguilles. Ils sont ainsi plus calmes et plus détendus tout au long de l’intervention.

En l’adoptant, les praticiens limitent les risques d’avoir à interrompre le processus à cause d’un éventuel mal-être du patient.

Par ailleurs, dans le cadre d’une transplantation de cheveux, une anesthésie sans aiguille évite aux patients de ressentir de la douleur. Il s’agit en effet d’une intervention mini-invasive, simple à réaliser.

Elle se déroule dans un climat serein. L’absence d’inconfort peut ainsi permettre aux patients de lire ou de se détendre pendant l’intervention. Outre ces nombreux avantages, une greffe de cheveux sans aiguille :

  • Favorise une guérison optimisée. En effet, le temps de récupération est relativement court et les patients peuvent reprendre plus rapidement leurs activités quotidiennes et professionnelles ;
  • Ne laisse pas de cicatrices ;
  • Rend plus simples et surtout plus rapides les techniques d’anesthésie ;
  • Permet de limiter considérablement les effets secondaires ;
  • Est adaptée à n’importe quel type de cheveux.

La greffe capillaire sans aiguille : Comment ça marche ?

La greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille se réalise grâce à des techniques diverses, toutefois moins douloureuses que lors d’une intervention traditionnelle.

Le fonctionnement de l’anesthésie sans aiguille

Les méthodes employées pour administrer une anesthésie sans aiguille permettent une diffusion indolore de l’anesthésique sous le cuir chevelu grâce à une pression élevée d’air.

En effet, un dispositif spécialisé est placé au niveau de la zone à anesthésier. Il prend la forme d’un stylo dans le cadre de l’application de la méthode Comfort-In. Celle-ci est plébiscitée pour sa simplicité, son efficacité et la certification dont elle bénéficie au niveau européen.

L’outil Comfort-In dispose d’une buse avec piston fixé à ressort stable. Le liquide anesthésique, de 0,5 ml généralement, est contenu dans l’orifice inférieur ayant un diamètre de 0,15 mm. Le praticien appuie ensuite sur la gâchette placée à l’extrémité supérieure.

Le dispositif permet de diffuser directement l’anesthésique sous le cuir chevelu sous l’action du piston de la buse qui descend à grande vitesse. Celui-ci facilite en effet une projection intradermique à haute pression d’air.

Le produit anesthésiant peut ainsi traverser les tissus dermiques sans nécessiter le recours à une aiguille. Cette procédure ne dure que quelques secondes et toutes les couches cutanées sont anesthésiées.

Le prélèvement et la transplantation des greffons peuvent ainsi se dérouler sans douleur.

Les méthodes de chirurgie capillaire sans aiguille

Hormis l’absence d’aiguilles, la procédure de la greffe capillaire reste la même et dépend de la méthode retenue par l’expert.

Deux techniques de transplantation sont généralement utilisées pour une greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille : la FUE (Follicular Unit Transplantation) et la DHI (Direct Hair Implantation).

La méthode FUE ou greffe capillaire par extraction d’unités folliculaires

À l’aide d’un micro-punch, le chirurgien va prélever les unités folliculaires une par une au niveau de la zone donneuse.

Il va ensuite procéder au tri afin d’enlever les tissus superflus et les implants de mauvaise qualité. Il réimplante enfin ces greffons sur la zone touchée par la calvitie.

Plus de détails sur cette méthode dans cet article.

La méthode DHI, version plus évoluée du FUE

Ici, le spécialiste va plutôt prélever les unités folliculaires dans la zone hippocratique où la repousse naturelle est plus intense. L’extraction des unités folliculaires est entièrement manuelle.

Sans faire des incisions, l’expert capillaire va transplanter les implants dans la zone dégarnie en procédant par injection. Ainsi, il contrôle mieux l’orientation et l’épaisseur du follicule. Cliquez ici pour en apprendre davantage sur le fonctionnement de cette méthode.

En somme, en dehors de l’élimination de la douleur généralement associée aux anesthésies, une greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille facilite la procédure de la transplantation ainsi que le processus de guérison.

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greffe cheveux homme

Greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille : Quels avantages ?

Il est possible d’effectuer sa greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille. C’est une technique dont le but est d’assurer plus de confort aux patients en limitant au maximum les douleurs qu’ils peuvent ressentir pendant et après l’opération.

Cette méthode, parfaitement adaptée aux patients ayant peur des aiguilles est rendue possible grâce à l’utilisation d’une technologie de pointe. Elle présente de nombreux avantages entre autres liés à la rapidité de l’intervention et à celle du processus de guérison.

Découvrez dans les détails le fonctionnement et les avantages d’une greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille.

Quels sont les avantages d’une greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille ?

Le principal avantage d’une greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille est qu’elle permet de réduire les craintes des patients ayant la phobie des aiguilles. Ils sont ainsi plus calmes et plus détendus tout au long de l’intervention.

En l’adoptant, les praticiens limitent les risques d’avoir à interrompre le processus à cause d’un éventuel mal-être du patient.

Par ailleurs, dans le cadre d’une transplantation de cheveux, une anesthésie sans aiguille évite aux patients de ressentir de la douleur. Il s’agit en effet d’une intervention mini-invasive, simple à réaliser.

Elle se déroule dans un climat serein. L’absence d’inconfort peut ainsi permettre aux patients de lire ou de se détendre pendant l’intervention. Outre ces nombreux avantages, une greffe de cheveux sans aiguille :

  • Favorise une guérison optimisée. En effet, le temps de récupération est relativement court et les patients peuvent reprendre plus rapidement leurs activités quotidiennes et professionnelles ;
  • Ne laisse pas de cicatrices ;
  • Rend plus simples et surtout plus rapides les techniques d’anesthésie ;
  • Permet de limiter considérablement les effets secondaires ;
  • Est adaptée à n’importe quel type de cheveux.

La greffe capillaire sans aiguille : Comment ça marche ?

La greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille se réalise grâce à des techniques diverses, toutefois moins douloureuses que lors d’une intervention traditionnelle.

Le fonctionnement de l’anesthésie sans aiguille

Les méthodes employées pour administrer une anesthésie sans aiguille permettent une diffusion indolore de l’anesthésique sous le cuir chevelu grâce à une pression élevée d’air.

En effet, un dispositif spécialisé est placé au niveau de la zone à anesthésier. Il prend la forme d’un stylo dans le cadre de l’application de la méthode Comfort-In. Celle-ci est plébiscitée pour sa simplicité, son efficacité et la certification dont elle bénéficie au niveau européen.

L’outil Comfort-In dispose d’une buse avec piston fixé à ressort stable. Le liquide anesthésique, de 0,5 ml généralement, est contenu dans l’orifice inférieur ayant un diamètre de 0,15 mm. Le praticien appuie ensuite sur la gâchette placée à l’extrémité supérieure.

Le dispositif permet de diffuser directement l’anesthésique sous le cuir chevelu sous l’action du piston de la buse qui descend à grande vitesse. Celui-ci facilite en effet une projection intradermique à haute pression d’air.

Le produit anesthésiant peut ainsi traverser les tissus dermiques sans nécessiter le recours à une aiguille. Cette procédure ne dure que quelques secondes et toutes les couches cutanées sont anesthésiées.

Le prélèvement et la transplantation des greffons peuvent ainsi se dérouler sans douleur.

Les méthodes de chirurgie capillaire sans aiguille

Hormis l’absence d’aiguilles, la procédure de la greffe capillaire reste la même et dépend de la méthode retenue par l’expert.

Deux techniques de transplantation sont généralement utilisées pour une greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille : la FUE (Follicular Unit Transplantation) et la DHI (Direct Hair Implantation).

La méthode FUE ou greffe capillaire par extraction d’unités folliculaires

À l’aide d’un micro-punch, le chirurgien va prélever les unités folliculaires une par une au niveau de la zone donneuse.

Il va ensuite procéder au tri afin d’enlever les tissus superflus et les implants de mauvaise qualité. Il réimplante enfin ces greffons sur la zone touchée par la calvitie.

Plus de détails sur cette méthode dans cet article.

La méthode DHI, version plus évoluée du FUE

Ici, le spécialiste va plutôt prélever les unités folliculaires dans la zone hippocratique où la repousse naturelle est plus intense. L’extraction des unités folliculaires est entièrement manuelle.

Sans faire des incisions, l’expert capillaire va transplanter les implants dans la zone dégarnie en procédant par injection. Ainsi, il contrôle mieux l’orientation et l’épaisseur du follicule. Cliquez ici pour en apprendre davantage sur le fonctionnement de cette méthode.

En somme, en dehors de l’élimination de la douleur généralement associée aux anesthésies, une greffe de cheveux avec une anesthésie sans aiguille facilite la procédure de la transplantation ainsi que le processus de guérison.

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Quel est l’intérêt de la greffe de cheveux ?

L’alopécie constitue chez les deux sexes un problème d’esthétisme. Et parfois, elle devient source de complexes. Elle peut toucher les profils aux différents âges. Une personne jeune est même exposée à cette perte de poils. Plusieurs facteurs provoquent la calvitie. Il faut parler d’un dérèglement hormonal, une maladie, un traitement ou encore la génétique. Cela dit, le phénomène n’est plus une fatalité grâce à diverses méthodes révolutionnaires. La greffe de cheveux reste l’un des plus sollicités. Mais que faut-il savoir sur le procédé ?

Pourquoi choisir la greffe de cheveux ?

L’implant vise à combler les zones dégarnies de la tête. La greffe de cheveux retire des follicules pileux sur une zone en bonne santé. En clair, l’emplacement n’est pas soumis à une forme de calvitie. Une quantité de cheveux sont retirés de cette partie avant d’être transférés sur la zone à compenser. Voilà une description simplifiée de l’opération qui attend les patients. Au vu de l’information, une personne aura tendance à croire que l’acte est douloureux. Toutefois, la zone donneuse est anesthésiée au préalable. Il n’y a donc pas la moindre souffrance pour le patient. L’autre information à connaître est qu’il s’agit d’une intervention non invasive. Après une greffe auprès de Docteur Paul Benet, le résultat sera visible sur le long terme. En effet, les cheveux naturels resteront en permanence sur la zone récemment traitée pendant de nombreuses années. La calvitie touchera en revanche les cheveux à proximité.

Quelles sont les techniques employées ?

Les techniques à utiliser sont déterminées lors de la consultation préliminaire. Un rendez-vous sera ensuite programmé. En principe, il est planifié 15 jours après les premiers contacts. Entre-temps, le patient ne doit pas consommer des anticoagulants. Deux procédés sont les plus exploités dans le secteur. Soit, le professionnel adopte le FUE ou Follicular Unit Extraction. Soit, il choisira le FUT ou Follicular Unit Transplantation. Pour connaître la bonne option, vous pouvez consulter sur GREFFE de CHEVEUX : Faut-il opter pour une « FUE » ou pour une « FUT » ? La différence entre les deux techniques réside sur l’état d’avancement de l’alopécie. Dans le FUE, quelques bulbes accompagnent les greffons. Ces derniers sont ensuite transplantés sur les zones chauves. Le FUT est également connu sous l’appellation bandelette. Il prévoit l’extraction d’une petite quantité de cuir chevelu d’une zone donneuse. En principe, les cheveux localisés à l’arrière de la tête sont les plus sollicités.

Comment se déroulent le FUE et le FUT ?

Dans le cadre d’un FUT, une bandelette de cuir chevelu de 1 cm est découpée en ligne droite. La longueur peut atteindre près de 15 cm voire plus. L’incision commence à partir d’une oreille à l’autre. Les unités folliculaires sont retirées à l’aide d’un microscope. Quand l’implantation est achevée, le professionnel suturera la cicatrice visible sur le lieu de ponction. En fonction des follicules à planter, la durée de l’opération peut aller jusqu’à 5 heures. À noter que le FUT convient si la zone dégagée était importante. Dans le FUE, la zone donneuse sera rasée au préalable pour voir les bulbes. Les extractions se passent à la nuque. Le diamètre à retirer découlera du matériel utilisé. D’après ces données, le FUE applique un prélèvement et de son côté le FUT consistera en un découpage. La réussite du FUE dépend essentiellement de la précision du chirurgien. L’acte prendra jusqu’à 8 heures. Certains types de chevelure ne sont pas adaptés à la technique. Il est faisable d’alléguer les profils aux cheveux crépus.

Les avantages et inconvénients du FUE et FUT ?

Le résultat est naturel. Il est applicable sur les calvities de stade 1 à 5. Le taux de repousse est supérieur à 90 %. Après l’intervention, le patient n’a pas besoin de repos. Après l’opération, le sujet ne ressentira pas des tiraillements. Une rougeur au niveau des croûtes est quand même observée. Cette teinte anormale est perceptible pendant 5 jours. Après ce laps de temps, elle disparaîtra de la peau. L’intervention s’étale sur plusieurs séances. L’avantage du FUT repose sur la vitesse d’exécution de l’acte. En 1 heure, le chirurgien parviendra à greffer près de 6000 cheveux. La cicatrice à l’arrière de la tête reste apparente sauf si le sujet avait des cheveux longs. La cicatrisation prendra plus de temps. Le délai dépend aussi de l’état de santé du patient et de son corps. Certains profils demandent davantage de temps pour cicatriser par rapport à d’autres. Les tiraillements sont l’un des effets secondaires répertoriés à la suite de l’intervention. Ces gènes sont localisés sur la zone de prélèvement. Quelques jours de repos sont requis après la greffe de cheveux FUT.

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menton fuyant

Menton fuyant, comment le corriger ?

Le menton occupe près du tiers du visage. Pas étonnant donc qu’un menton fuyant soit très vite remarqué : l’harmonie faciale s’en ressent. La personne concernée peut donc ressentir du mal-être, qu’elle soit un homme ou une femme. Elle recherche donc des solutions pour corriger ce qu’elle considère comme une anomalie. Si vous êtes dans le cas, voici comment retrouver confiance en vous.

Qu’est-ce qu’un menton fuyant ?

De façon générale, lorsqu’on est de profil, le bord des lèvres est aligné sur le sommet du menton. Mais chez certains, on remarquera que :

  • Le menton est à une position plus avancée que le bord des lèvres (progénie) ;
  • Ou à l’inverse, est en retrait : on parle de menton fuyant (rétrogénie).

Il faut déjà noter que le menton, arc antérieur de la mâchoire, est recouverte d’un puissant muscle dit « mentonnier ». Sa forme, son volume et sa hauteur jouent un important rôle, même dans le processus de fermeture de la bouche au repos.

En cas d’irrégularité donc, on peut avoir l’impression (à tort), en regardant le visage, qu’il est peu évolué ; ou parfois, que la personne elle-même est peu intelligente. Fort heureusement, une chirurgie du menton permet de résoudre ce problème.

En quoi consiste la chirurgie du menton ?

Encore appelée génioplastie ou mentoplastie, c’est une chirurgie fonctionnelle pour corriger un menton fuyant.

Utilité

Faite par des chirurgiens maxillofaciaux, la génioplastie sert à pallier la crispation mentonnière qui peut être gênante, voire douloureuse, parfois. Aussi permet-elle de rétablir l’équilibre et l’harmonie du visage pour prévenir les déformations et les mouvements de la dentition.

Deux possibilités

Deux options sont envisageables :

  • L’insertion d’un implant dans le menton ;
  • Une ostéotomie sur le menton pour pousser l’os mandibulaire vers l’avant.

Elle a l’avantage d’éviter la formation d’un double-menton qui est le plus souvent impossible à contourner. Dans certains cas de figure (bosse sur le nez notamment), une profiloplastie sera prescrite.

La profiloplastie

Profiloplastie est tout un processus « anti-menton fuyant », qui débute par une analyse des rapports entre la projection du menton et la forme du nez. Ce préalable sert à élaborer le projet de traitement.

La chirurgie est-elle la seule solution ?

Il existe aussi des solutions en médecine esthétique pour corriger une rétrogénie (à condition qu’elle soit mineure) : les injections d’acide hyaluronique ou la pose de prothèse. L’objectif étant de rééquilibrer le menton et la mâchoire en induisant une amélioration de leur symétrie et de leur proéminence.

Mais, vous étiez-vous déjà demandé d’où vient cette irrégularité ?

Les causes de la rétrogénie

Elles sont principalement d’ordre héréditaire. On remarque un menton fuyant chez un individu, dès sa naissance ou le plus jeune âge. Puis, au fur et à mesure que le temps passe, cela peut ou non s’accentuer.

Toutefois, il faudra attendre l’âge le 18e anniversaire pour envisager une intervention chirurgicale correctrice. C’est l’âge auquel l’ossification du visage est totale.

Quid des conséquences ?

En plus de la gêne psychologique et des complexes (faible estime de soi), la rétrogénie induit une impression d’épaississement du cou, du fait de l’angle cervico-mentonnier qui ne paraît plus aussi dessiné qu’il le devrait.

Ces « déclinaisons » du menton fuyant induisent donc entre autres :

  • Des troubles du sommeil ou de la respiration ;
  • Un mauvais alignement des dents ;

Une solution qui coûte 0 euro

Si vous aimez porter la barbe, c’est le moyen le moins cher (pour ne pas dire gratuit) pour masquer cette imperfection. La mode des Hipsters est l’alibi parfait pour expliquer ce changement à d’éventuels curieux.

Dites ainsi adieu aux surnoms du genre rétrognathe dûs à votre menton fuyant.

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Chirurgie esthétique, un phénomène en forte expansion

De nos jours, l’opération la plus pratiquée est l’augmentation mammaire qui permet une augmentation du volume des seins soit par pose d’implants ou par lipofilling, c’est-à-dire le transfert de graisse d’une partie du corps où on a trop de gras vers une autre partie où on souhaite en rajouter. Cette pratique peut aussi vous permettre de retrouver une poitrine opulente et généreuse, que vous avez peut-être perdu suite à une perte de poids importante ou une grossesse. Elle vous permet notamment d’avoir une poitrine avec une forme plus arrondie et corrige éventuellement une certaine asymétrie de la taille des seins. Par exemple, le sein droit fait un bonnet A alors que le sein gauche fait un bonnet B.

1) Que faut-il savoir sur l’augmentation mammaire ?

L’augmentation mammaire permet d’augmenter le volume de vos seins et donne un effet de projection vers l’extérieur. Cette intervention vous permettra donc de rééquilibrer les proportions de votre corps, si vous avez des seins trop petits, et/ou si vous avez trop de graisse à un endroit en particulier. Ainsi, vous retrouverez confiance en vous et en votre physique et vous vous sentirez mieux dans votre peau.

2) Les candidats pour cette intervention

Pas toutes les personnes peuvent avoir recours à cette intervention. Assurément, il faut être en bonne santé et avoir, entre autres, un poids stable et une bonne hygiène de vie avant de se lancer. En outre, vous ne devez pas attendre un enfant et vous devez pas être en période d’allaitement. D’autre part, l’âge minimal pour la réalisation de cette intervention est de dix-huit ans et de préférence vingt ans, afin d’attendre à ce que les seins soient totalement et complétement développés.

Ainsi, si la taille de votre poitrine est asymétrique, si vous avez perdu énormément de volume récemment, suite à une perte de poids, grossesse ou encore allaitement et si enfin ce vide sur votre buste vous complexe et vous dérange profondément, alors vous êtes la candidate idéale pour une augmentation mammaire. Cette dernière vous permettra de sortir de votre mal-être et vous vous sentirez mieux dans votre corps.

3) L’augmentation mammaire et l’assurance santé ?

 

Il faut toujours avoir à l’esprit que plus l’opération est fonctionnelle et indispensable pour la santé du patient, plus l’assurance santé est susceptible de couvrir les frais de l’intervention. En effet, si l’opération est purement esthétique alors vous avez très peu de chances d’être remboursé car elle juge que cette opération n’est pas prioritaire et indispensable.
Ainsi, les implants mammaires peuvent également être utilisés pour la reconstruction du sein après une mastectomie ou un incident du type. Dans ce cas-ci, vous pourrez probablement être remboursé. N’hésitez pas en parler avec votre assurance pour plus d’éclaircissements avant de vous lancer dans toute opération.

4) Attentes et résultats, ne vous leurrez pas !

N’ayez pas des résultats et des attentes surréalistes, il primordial d’en parler avec votre chirurgien opérant lors de la première consultation. L’augmentation mammaire ne peut pas tout faire, elle ne peut par exemple corriger des seins tombants et relâchés. Effectivement, ceci est le rôle du lifting des seins, où il y a résection d’un excès de peau affaissée et où le chirurgien resserre et retend la peau restante sur l’ensemble de la poitrine. Vous pourrez toutefois, réaliser et un lifting mammaire et une augmentation mammaire, afin d’avoir au final, une poitrine ferme, tendue, relevée et généreuse.

 

5) Les risques encourus lors de l’opération :

Les risques et les complications restent rares et très peu probables, mais sont toutefois présents. La liste exhaustive des risques encourus est exposée par votre chirurgien lors des premières consultations. Il est important de lui faire part de toutes vos craintes, vos préoccupations et vos attentes avant de décider si oui ou non, vous souhaitez avoir recours à cette opération.

Les risques possibles pris lors d’une opération d’augmentation mammaire sont les suivants :

– Des saignements peuvent se produire,
– Il y a tout de même le risque, non négligeable, de l’infection. Cependant, le chirurgien vous prescrira des antibiotiques afin de l’éviter,
– Il est possible d’avoir un hématome et des endroits plus ou moins gonflés. C’est tout à fait normal, toute zone opérée présente cet aspect après l’intervention. Votre chirurgien vous prescrira une crème de massage adaptée afin d’atténuer l’aspect bleuté de la peau et de réduire le gonflement,
– Une forte douleur qui pourra être atténuée par la prise d’analgésiques et d’antidouleurs prescrits par votre chirurgien,
– Une perte de la sensibilité au niveau de ses mamelons et de ses seins mais qui peut mettre une période allant de trois mois à un an pour être retrouvée,
– Une mauvaise cicatrisation ou une cicatrice à l’aspect inesthétique car les indications n’ont pas été suivies à la lettre. Néanmoins, rien n’est irréversible, vous pourrez toujours réaliser des retouches lors d’une seconde intervention afin d’améliorer leur apparence,
– Position incorrecte de l’implant, ou bien sa fuite ou encore sa rupture. Pour ce faire, le chirurgien surveillera de près l’état de l’implant, qui doit être remplacé, en théorie, tous les dix ans. Vous devrez donc effectuer des contrôles multiplies et réguliers chaque année afin d’éviter ce genre de complications.

Pour conclure, la décision de recourir à la chirurgie esthétique est extrêmement personnelle. Vous devez le faire pour vous et non pour satisfaire les autres, ni pour correspondre et ressembler à un critère de beauté en particulier.
Si cette opération vous permettra de mieux vous sentir dans votre corps et de mieux apprécier la vie, alors foncez !

Enfin, il vous sera demandé de signer des formulaires de consentement afin de vous assurer que vous comprenez parfaitement la procédure ainsi que les risques et complications potentiels qu’elle engendre.

Si vous hésitez encore, vous pouvez toujours prendre rendez-vous avec nos chirurgiens pour un devis gratuit, vous pourrez prendre votre décision par la suite.

 

6) Le tourisme médicale en Tunisie :

 

Des bons chiffres qui installent le tourisme médical comme un axe de développement de secteur médical en Tunisie.

La Tunisie est l’un des pays africains le plus favorisés pour les français, suisses ou belges. Elle fait partie des meilleures destinations pour faire s’opérer. Le secteur de la santé et du bien-être offre des occasions de Business to Consommer ainsi qu’une source de devise pour le pays. Diverses agences de chirurgie esthétique qui sont capables de vous proposer des tarifs très attractifs avec l’opportunité d’en profiter d’un vol aller-retour gratuit et ainsi un transfert vers la clinique et l’hôtel.

 

7) Choisir un bon chirurgien esthétique :

 

Pour choisir son chirurgien, il est important de connaître quels résultats on attend de lui. Certains éléments sont nécessaires avant de se lancer pour bien choisir votre chirurgien esthétique et réparatrice. La chirurgie esthétique en Tunisie n’est pas à tenir à la légère, il faut aussi savoir ce que l’on attend nettement du chirurgien qui va vous effectuer votre opération chirurgicale.

 

Vous devez être certain que votre médecin est diplômé en France ou au moins effectué son stage aux cliniques françaises. Il soit à l’écoute, et fasse preuve d’un comportement sympathique. Votre chirurgien doit être capable de communiquer avec vous et bien saisir vos besoins, et d’y répondre avec plus de précision. Avant l’intervention, le chirurgien doit prendre le temps de vous calmer et expliquer d’une manière claire les différents points à traiter afin que rien ne vous échappe.

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La radiothérapie dans le traitement du cancer – ce que vous devez savoir

Les malades de cancers sont nombreux à subir une radiothérapie en traitement unique ou en association avec d’autres procédés médicaux. Certains patients traités pourront ressentir des effets secondaires de la radiothérapie, plus ou moins lourds, en raison des rayonnements qui peuvent affecter les cellules saines. Pour bien se préparer à l’intervention, il convient de se renseigner sur les différentes étapes.

En quoi consiste la radiothérapie ?

La radiothérapie consiste à diffuser localement des rayons ionisants dans le but de détruire la tumeur. Il s’agit d’un traitement permettant d’empêcher les cellules cancéreuses de proliférer tout en préservant les organes et les tissus sains autour de la zone à traiter. La radiothérapie externe est la technique la plus utilisée contre les cancers. Ce traitement utilise un appareil appelé « accélérateur linéaire de particules » afin de diffuser un faisceau de radiations sur la zone concernée. Les radiations qui traversent la peau en profondeur irradient ainsi localement les cellules cancéreuses. Le radiothérapeute peut également procéder à la curiethérapie qui consiste à implanter directement la source radioactive dans la cellule cancéreuse.

Quels cancers peuvent être traités par la radiothérapie ?

La radiothérapie est prescrite à but curatif en traitement seul, ou en association avec la chimiothérapie ou une chirurgie. L’efficacité du traitement repose sur la dose de rayonnements administrée afin d’éviter l’apparition d’effets secondaires graves. Concrètement, la radiothérapie intervient dans le traitement des cancers gynécologiques et des cancers urogénitaux. Ce procédé est également utilisé pour détruire les tumeurs ORL qui se forment dans le larynx, le pharynx, la langue ou encore la bouche. La radiothérapie, en particulier la radiothérapie stéréotaxique permet également de cibler précisément la tumeur dans des zones délicates. Cette technique est principalement utilisée dans le traitement des tumeurs au cerveau. La radiothérapie métabolique qui consiste à ingérer un médicament radioactif est quant à elle effectuée en cas de cancer de la thyroïde.

Comment se déroule le traitement ?

Seule la curiethérapie nécessite une hospitalisation. L’intervention est réalisée par une équipe médicale composée d’un oncologue radiothérapeute, d’un physicien médical et d’un dosimétriste qui accompagnent le patient à chaque étape du traitement. La radiothérapie commence par le repérage de la tumeur. Le médecin procède à un scanner en vue de délimiter la zone à irradier et de préserver les organes et les tissus aux alentours. Les séances de radiothérapie externe se déroulent en ambulatoire, durant lesquelles le radiothérapeute définit la dose exacte de rayonnements à administrer. En cas de radiothérapie interne, le patient est placé dans une pièce équipée pour empêcher la diffusion des radiations.

Quelle est la durée du traitement de radiothérapie ?

Pour déterminer la durée et le nombre des séances d’irradiation, il faut prendre en compte certains facteurs. En effet, la durée du traitement de radiothérapie varie selon le type de tumeur, son emplacement, sa taille ainsi que sa propagation. La fréquence habituelle du traitement consiste en une séance par jour, quatre ou cinq fois par semaine pendant quelques semaines. En général, il faut compter entre 1 et 5 minutes pour une séance d’irradiation. La durée de la première séance s’avère toutefois plus longue afin que le radiothérapeute puisse calculer la dose exacte de radiation à émettre. En cas de radiothérapie externe, le patient a la possibilité de rentrer chez lui après la séance. Néanmoins, une hospitalisation de quelques jours est nécessaire dans le cas d’une radiothérapie interne afin d’éviter la contamination radioactive.

Quels sont les effets indésirables par la radiothérapie ?

Bien que la radiothérapie s’avère efficace contre les tumeurs, les radiations émises peuvent aussi affecter les cellules saines. En conséquence, le patient peut observer divers effets secondaires. Les conséquences les plus fréquentes d’un traitement par les rayons ionisants comprennent l’altération de la peau, une inflammation, une rougeur ou bien un œdème sur la zone traitée. La perte des cheveux fait aussi partie des effets secondaires courants. Les patients suivant un traitement de radiothérapie peuvent également ressentir une grande fatigue et une perte d’appétit. Les traitements des tumeurs de l’abdomen sont quant à eux responsables de troubles digestifs comme les maux de ventre, la constipation, la diarrhée, la nausée et les vomissements.

Source : Institut de radiothérapie Henri Hartmann

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Greffe de cheveux à Paris

Guide pour s’offrir une greffe de cheveux à Paris

De plus en plus d’hommes et de femmes optent pour la greffe de cheveux à Paris afin de résoudre leurs problèmes capillaires. S’imposant aujourd’hui comme la solution la plus efficace pour avoir une chevelure de rêve, ce procédé fait sensation dans l’univers de la chirurgie esthétique.

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contraception

Changement de méthodes de contraception : risques de prise de poids ?

Entre les oublis de pilule, l’hypersensibilité aux hormones et le manque de polyvalence du stérilet, il est évident que toutes les formes de contraception ne conviennent pas à toutes les femmes. D’un côté, il y a les femmes qui choisissent une méthode contraceptive et continuent de l’utiliser tout au long de leur vie reproductive. Et de l’autre se trouvent les femmes qui ne trouvent pas la méthode idéale et changeront de dispositifs plusieurs fois. Il faut savoir que changer de méthode de contraception, c’est tout à fait possible, mais attention à ne pas se précipiter. En effet, un mauvais choix de méthode, ou encore une phase de changement inadaptée, peut multiplier le risque de grossesses non désirées et le risque de prise de poids. D’autant plus que certaines méthodes contraceptives sont pointées du doigt pour leur effet négatif sur le poids corporel.

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