Comment se soigner contre les maux de l’hiver ?

Quand l’hiver arrive, on a souvent tendance à prendre froid et à tomber malade suite au changement de saison. Vous avez envie de connaître des soins naturels pour redynamiser l’organisme dans ces moments-là ? Nous vous donnons dans cet article quelques conseils pour savoir comment se soigner de façon naturelle et efficace.

Peut-on se soigner au naturel ?

Avant toute chose, si vous vous demandez comment se soigner seul et naturellement, il s’agit de préciser que l’automédication est une chose risquée dans le sens où, lorsque l’on n’est pas médecin, mieux vaut éviter. Vous pouvez en effet faire un mauvais diagnostic de votre état physique ou mental, et cela peut avoir des conséquences graves sur votre état de santé général.

En revanche, il existe certaines infections hivernales comme les écoulements nasaux, ou les simples maux de gorge sans complication, que l’on peut soigner naturellement. D’ailleurs, ces symptômes disparaissent généralement par eux-mêmes, sans traitement, au bout de sept jours.

Mais vous pouvez aider votre corps à se rétablir plus rapidement en faisant un bon usage de la médecine douce. Si votre état persiste, consultez immédiatement un médecin. Plus de précisions en cliquant ici.

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Comment soigner un simple rhume ?

Pour soigner un rhume, vous pouvez avoir recours à certaines vertus naturelles des plantes. Par exemple, vous pouvez vous faire une infusion de romarin, qui aide à apaiser les effets du rhume, que ce soit pour déboucher le nez ou pour apaiser un écoulement nasal incessant. Pour cela :

  • Faites bouillir une casserole d’eau
  • Ajoutez quelques branches de romarin, et laissez infuser pendant une dizaine de minutes
  • Buvez ensuite deux à trois tasses de cette infusion tout au long de la journée.
  • Répétez l’opération pendant toute la semaine.

Si vous vous demandiez comment se soigner de façon naturelle lorsque l’on a un rhume, vous pouvez également appliquer les fameux remèdes de grand-mères. En effet, ces solutions sont redoutables pour apaiser tous les maux de l’hiver. Notamment, si vous avez besoin de dégager des voies respiratoires bouchées, vous pouvez faire une inhalation. Pour cela, il vous faudra :

  • Faire bouillir une grande casserole d’eau
  • Ajouter quelques feuilles d’eucalyptus, de menthe, de romarin, de camomille et de thym (vous pouvez également remplacer les feuilles par des huiles essentielles, mais attention à bien respecter le dosage indiqué sur l’emballage)
  • Placez votre nez au-dessus de la casserole, et recouvrez une serviette sur votre tête.
  • Inhalez profondément pendant 15 minutes

On recommande souvent après une inhalation, de ne pas sortir pendant deux heures, pour éviter que le corps, sensibilisé par les effets de l’inhalation, ne prenne froid.

D’autres conseils via cet article pour soigner les infections de l’hiver.

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Apaiser la toux sèche et les maux de gorge

Comment se soigner quand la toux nous prend à la gorge ? Pour apaiser une toux sèche, il s’agit d’adoucir l’arrière de la gorge : vous pouvez sucer des pastilles pour la toux, ce qui va permettre de sécréter de la salive et de désinfecter naturellement le fond de la gorge.

Des idées pour votre pharmacie naturelle à la maison via cette page. 

Par ailleurs, vous pouvez également renforcer cette action en utilisant des huiles essentielles. Parmi elles, l’eucalyptus radiata, le ravintsara et le niaouli sont des ingrédients redoutables contre la toux : ils ont des vertus décongestionnantes.

  • Dans un bol, versez une huile végétale (olive, amande…) et versez-y deux gouttes de l’huile essentielle de votre choix.
  • Appliquez en massage sur le thorax, et répétez l’opération 4 fois par jours pendant 3 jours.

Cette solution est radicale pour apaiser les quintes de toux, donc n’hésitez plus !

Toute l'équipe astuce-santé vous souhaite la bienvenue, cher internaute en quête de réponses. Et des réponses, nous en avons plein notre besace puisque nous veillons à communiquer, via les articles publiés sur ce blog, un maximum d'informations fiables et vérifiées concernant la santé, de l'alimentation jusqu'aux pratiques médicales dans tous leurs états. Peut-être cherchez vous à comprendre l'origine de vos maux ? Ou peut-être voulez-vous simplement en savoir plus sur les astuces à appliquer au quotidien pour être en bonne santé ? Nous vous souhaitons une agréable lecture et, le cas échéant, un bon rétablissement !

    Comment fonctionnent les antalgiques ?

    Atténuer, voire faire disparaître la douleur ; voilà un rêve propre à l’Homme et d’une importance au moins aussi grande que le rêve de voler, ou celui de lire dans les pensées ! Mais aussi loin que l’on s’en souvienne, aucune aile ne nous est jamais poussée, et jusqu’à preuve du contraire, aucun individu de notre espèce n’a été frappé par une extralucidité telle qu’il pouvait dire à quel repas gargantuesque songeait son voisin de bureau.

    En revanche, l’Homme semble avoir toujours cherché (et trouvé) des moyens de soigner la douleur, que celle-ci soit physique ou mentale. Alors, quid des antalgiques ? Et surtout, comment l’antalgique fonctionne-t-il ?

    Petit retour aux sources

    Aussi loin que remonte la découverte et la consommation de l’alcool, c’est probablement vers cette époque-là que l’on peut situer l’invention de l’antalgique. En effet, quel remède plus célèbre contre la douleur que l’ivresse causée par le vin ou quelque autre breuvage ? Cependant, il faut bien accorder aux guérisseurs et médecins de l’Antiquité le crédit de ne pas s’être limités à l’alcoolisme pour pallier aux souffrances humaines.

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    Pour entamer les festivités dans le cadre de la médecine moderne, c’est Hippocrate, médecin grec du 4ème siècle av. J.-C., qui recommanda le premier la fleur de Saule dans le cadre du traitement des maladies oculaires. Cependant, une autre plante, appelée la plante de la joie, avait fait parler d’elle quelques 3000 ans plus tôt, et ce pour ses vertus apaisantes, voire euphorisantes : l’opium.

    Au Moyen-Âge, tout ce que l’on avait appris sur les moyens de traiter la douleur fut quelque peu… laissé en jachère. La médecine, moins écoutée ou du moins, moins entendue que la religion, ne put empêcher la prolifération d’une idée selon laquelle la douleur était une bonne chose, car elle rapprochait de Dieu. Ce n’est qu’aux alentours de la Renaissance que l’on reprit goût à ce qui deviendrait l’analgésique moderne : les médecins utilisèrent l’opium et en firent un sérum appelé « Pierre de l’immortalité ». Rien que ça.

    Les conquêtes napoléoniennes du début du 19ème siècle virent poindre l’usage de la morphine. Puis le mélange d’éther et de chloroforme donna naissance à l’anesthésie. En 1854, de la cocaïne fut extraite de la feuille de coca. À l’aube du 20ème siècle, Bayer commercialisa l’héroïne comme un médicament. Enfin, aujourd’hui, l’antalgique brille par sa pluralité.

    Son anatomie

    On divise le médicament en trois catégories, tout simplement :

    • Le palier 1 concerne les douleurs faibles : les anti-inflammatoires non-stéroïdiens, le néfopam, le paracétamol en font partie
    • Le palier 2 concerne les douleurs modérées. La codéïne et le tramadol en font partie. Si on les compte parmi les membres de la même famille que la morphine, les opioïdes, la puissance de leurs effets reste cependant moindre.
    • Le palier 3 concerne les douleurs fortes : on trouve ici les opioïdes forts, tels la morphine, ou encore l’oxycodone. Cliquez ici pour en apprendre plus !

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    Comment l’antalgique agit-il sur le corps ?

    On le prend généralement par voie orale, sous forme de comprimé. Il suit donc un processus de digestion similaire à tout ce que l’on ingère. Lorsque le comprimé se dissout, une partie du principe actif contenu à l‘intérieur passe à travers la membrane de l’estomac et entre dans le sang. Le reste continue d’être digéré jusqu’à être absorbé dans l’intestin.

    La substance passée dans le sang est programmée pour foncer en direction de la prostaglandine, élément présent dans le corps humain responsable (en partie) des fièvres et des douleurs qui nous assaillent au quotidien. En visant cet élément, l’antalgique joue le rôle pour lequel nous l’avons inventé : il atténue la douleur ou la souffrance ressentie par la personne. Ce n’est qu’ensuite que le foie fera son travail de purification du sang. Il vous désintoxiquera, en quelques sortes, d’un médicament qui, une fois sa mission remplie, n’a plus rien à faire dans votre sang.

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      Endométriose : une maladie courante et pourtant méconnue

      Pendant les règles, il n’est pas rare que certaines femmes souffrent de douleurs assez intenses. Ces douleurs dépendent souvent de différents facteurs comme l’hérédité. En revanche, ce qui est plutôt anomal, ce sont les douleurs après les règles, générées par des lésions et des kystes.

      Dans ces cas-là, il s’agit de consulter immédiatement pour diagnostiquer si oui ou non vous souffrez d’une maladie -peu grave, mais à prendre en compte-, à savoir : l’endométriose. Et pour plus de renseignements sur l’origine de cette maladie, vous pouvez consulter cet article.

      Définition de cette maladie

      L’endométriose est une maladie qui touche une femme sur dix en âge de procréer. L’endomètre est un tissu qui tapisse la paroi de l’utérus et qui s’épaissit en vue d’une grossesse, mais, en l’absence de fécondation, il est éliminé et provoque ainsi les règles.

      Dans le cas d’une endométriose, les cellules vont se développer également hors de l’utérus et toucher d’autres organes, comme les trompes, les ovaires, et dans certains cas les intestins et la vessie. L’endomètre développé doit également s’éliminer, mais comme les organes où il s’est développé ne sont pas faits pour, cela provoque des lésions et des kystes. Et, par extension, des douleurs assez intenses chez la femme.

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      Comment repérer les symptômes ?

      Les symptômes de l’endométriose sont complexes à repérer dans le sens où leur intensité n’est pas révélatrice de la réalité des lésions. On a pour autant diagnostiqué le symptôme le plus courant, qui est commun à plus de 50% des femmes : les douleurs gynécologiques intenses pendant les règles.

      Il faut préciser que ces douleurs sont handicapantes pour la plupart des cas. Cette douleur est liée au cycle des menstruations, et se manifeste pas une douleur assez aiguë au moment de l’ovulation. Celle-ci ne peut être adoucie par une simple prise de paracétamol, il faut souvent prendre dans la plupart des cas de lourds traitements à base d’antalgiques puissants, voire de la morphine.
      D’autres symptômes peuvent être liés comme :

      • des douleurs pendant les rapports sexuels
      • des difficultés à uriner et à déféquer
      • douleurs lombaires et abdominales
      • dans certains cas : l’infertilité

      C’est bien souvent au cours d’un bilan de fertilité que l’on se rend compte de l’existence de la maladie.
      Pour en savoir plus, vous pouvez consulter cette page.

      endometriose-symptomes

      Quels sont les traitements ?

      Après un examen gynécologique qui aura diagnostiqué une endométriose, le corps médical prescrit généralement des médicaments visant à supprimer les îlots au sein de la muqueuse utérine. Ce sont le plus souvent des dérivés de la progestérone.

      Mais dans d’autres cas, on va plutôt injecter pendant quelques mois des produits qui vont provoquer une ménopause réversible. De la sorte, les ovaires vont être mis au repos forcé pendant quelques mois, ce qui va permettre de réduire les lésions. Pour plus de renseignements sur les traitements de cette maladie, vous pouvez cliquer ici. 

      Vous pouvez également choisir l’option de la cœliochirurgie, qui consiste à réduire les lésions en envoyant de l’électricité dans le ventre. Dans certains cas, cette maladie peut provoquer l’infertilité, mais on peut envisager une grossesse in vitro.

      Par ailleurs, on remarque que c’est par la grossesse que les lésions viennent à se réduire, et on pense que cette solution est sans aucun doute la meilleure pour guérir une endométriose.

      Toute l'équipe astuce-santé vous souhaite la bienvenue, cher internaute en quête de réponses. Et des réponses, nous en avons plein notre besace puisque nous veillons à communiquer, via les articles publiés sur ce blog, un maximum d'informations fiables et vérifiées concernant la santé, de l'alimentation jusqu'aux pratiques médicales dans tous leurs états. Peut-être cherchez vous à comprendre l'origine de vos maux ? Ou peut-être voulez-vous simplement en savoir plus sur les astuces à appliquer au quotidien pour être en bonne santé ? Nous vous souhaitons une agréable lecture et, le cas échéant, un bon rétablissement !