Nutrition et régime 30 mars 2018

Quelques étapes incontournables pour la préparation du maté

Le maté est une boisson traditionnelle aux effets stimulants, consommé pour la première fois par les guaranis ou les Indiens du Paraguay. Il est obtenu à partir de la plante Yerba maté et le pays qui le consomme le plus est le pays de l’Amérique du Sud.

De nos jours, la consommation de ce thé s’est répandue un peu partout dans le monde grâce à son goût, mais surtout grâce à ses vertus multiples. Cependant, pour le boire et pour bénéficier de ses innombrables bienfaits, quelques étapes importantes doivent être respectées. Pour tout savoir, trouvez ci-dessous chaque phase essentielle pour sa préparation.

Réunir les ustensiles et ingrédients nécessaires !

Avant de pouvoir préparer le maté, vous aurez besoin, d’une part des ingrédients suivants : le yerba maté qui va servir de boisson, de l’eau froide, de l’eau chaude non portée à ébullition et du sucre si vous en avez besoin. D’autre part, il vous faut les ustensiles, soit la gourde faite en calebasse et qui servira de récipient des feuilles de maté et la bombilla qui servira de paille pour la boisson. C’est seulement après avoir réuni tous les éléments incontournables pour réaliser ce thé que vous pourrez passer à l’étape suivante.

Verser le yerba maté dans la gourde

En remplissant la calebasse de feuilles séchées, veillez à ce que le récipient ne soit pas entièrement plein. Occuper ¾ de la callebasse suffit.

Mettre la main sur la calebasse et la retourner ensuite

Ceci consiste à faire remonter la poudre des feuilles de maté à la surface afin que le consommateur ne puisse pas par hasard aspirer la poudre. En général, retourner la calebasse 2 fois peut suffire.

Additionner de l’édulcorant

Cette étape n’est aucunement obligatoire. Certains préfèrent y ajouter du sucre, d’autres non. Y ajouter de l’orange peut également adoucir le goût. Chacun sa préférence, mais concernant le maté classique, il peut être consommé sans édulcorant pour garder toute sa saveur. Vous pouvez ajouter bien du sucre pour atténuer un peu le goût.

Incliner la calebasse et insérer la paille à maté

Après avoir retourné la calebasse, penchez-la pour créer une sorte de pente. Ainsi vous obtiendrez un côté entassé de feuilles séchées et un côté creux. Ensuite, enfoncez profondément la bombilla dans la partie creuse et faites-en sorte qu’elle se mette contre la paroi. La bombilla ne doit pas être assez près du côté entassé pour éviter que le tas ne tombe sur la partie vide. Soulignons que cette étape dépend des préférences du consommateur. Certains insèrent la paille avant que l’eau n’ait été versée, d’autres préfèrent l’insérer après. Dans ce deuxième choix, vous n’avez qu’à boucher l’ouverture de la paille pour ensuite l’insérer.

Verser de l’eau froide, et de l’eau chaude

Dans la partie creuse, ajoutez-y de l’eau froide de manière à remplir tout le vide. Après que l’eau froide soit absorbée, refaite la même chose, mais cette fois-ci avec de l’eau chaude. Soulignons que l’eau chaude versée ne doit impérativement pas être bouillie. De l’eau chaude à 80°C est parfaite pour garder sa saveur, dans le cas contraire, votre boisson sera amère.

En outre, vous distinguerez qu’il y a une partie sèche et une partie envahit par l’eau. Ceci est fait pour que le maté ne se consume pas rapidement.

Boire le maté

La consommation du maté se fait à l’aide de la bombilla. Toutefois, certaines personnes ou plus précisément les personnes qui commencent tout juste à adhérer au maté ont la mauvaise habitude de prendre la paille et de mélanger le tout. Cette action pourra tout gâcher, car les feuilles séchées du maté pourront s’infiltrer dans le tube en métal. Donc, buvez le contenu en évitant de remuer la paille.

Après avoir bu la boisson, n’oubliez pas de nettoyer la gourde. Comme celle-ci est conçue en calebasse, des moisissures peuvent apparaître, ce qui modifierait largement la saveur de votre prochain maté.

La rédaction

Toute l'équipe astuce-santé vous souhaite la bienvenue, cher internaute en quête de réponses. Et des réponses, nous en avons plein notre besace puisque nous veillons à communiquer, via les articles publiés sur ce blog, un maximum d'informations fiables et vérifiées concernant la santé, de l'alimentation jusqu'aux pratiques médicales dans tous leurs états. Peut-être cherchez vous à comprendre l'origine de vos maux ? Ou peut-être voulez-vous simplement en savoir plus sur les astuces à appliquer au quotidien pour être en bonne santé ? Nous vous souhaitons une agréable lecture et, le cas échéant, un bon rétablissement !

Sexualité 26 mars 2018

Les pilules miracles pour homme peuvent-elles être dangereuses pour la santé ?

Lorsque l’homme fait face à des troubles de l’érection plus ou moins fréquents, il est tout naturel de se tourner vers des pilules dites « miracles » afin de contrer ce phénomène qui gène les rapports sexuels. Or, de nombreuses études ont été réalisées afin d’avoir des éléments concrets sur l’efficacité de ces pilules miracles, mais aussi sur ses effets sur la santé. Et les résultats sont clairs : les études démontrent que l’usage abusif des pilules favorisant l’érection peut avoir des conséquences désastreuses sur la santé de l’homme. Explications.

L’utilisation des pilules miracles

Quand on parle de « pilules miracles », on pense automatiquement au viagra, mais il existe d’autres pilules comme cialis ou male extra (source) qui promettent de faire durer l’érection plus longtemps. En pratique, ces pilules ont pour objectif d’améliorer et de rallonger l’érection lorsqu’un trouble grave de l’érection est constaté chez l’homme.

Mais certains hommes l’utilisent en dehors d’un cadre médical, simplement par convenance pour améliorer leurs rapports, sans toutefois souffrir de troubles sexuels. L’effet recherché est tout simplement d’augmenter les performances sexuelles. Or, ces pilules ne sont alors plus adaptées pour cela, car lorsque l’homme souhaite simplement améliorer ses performances, il vaut mieux faire des exercices de kegel de manière régulière que prendre des médicaments.

Pourtant, selon des études, il y aurait plus d’hommes qui utiliseraient ces pilules miracles par convenance, c’est-à-dire pour un usage récréatif, que d’hommes qui l’utiliseraient pour faire face à un réel trouble sexuel.

L’usage abusif diminue l’érection naturelle

L’érection ne cesse d’évoluer, de changer. Lorsqu’un pénis est en érection, le sang monte dans le corps caverneux et repart du pénis sans arrêt, et c’est cette action qui entraine la force de l’érection. Or, si l’homme est sous l’effet d’une pilule, l’érection va venir plus facilement et de manière plus rapide.

Là où le problème se pose, c’est que l’homme se crée de nouveaux standards. À force de prendre des pilules telles que le viagra, le spedra et compagnie, il risque d’être extrêmement déçu de son érection « naturelle », car elle ne sera pas de la même force. Elle sera même réduite, car il n’aura plus eu d’efforts à effectuer pour arriver à une forte érection. Cette érection naturelle ne sera plus suffisante pour lui. C’est l’effet du serpent qui se mord la queue, car cela lui posera donc un problème au moment de l’arrêt de la pilule.

Les dangers sur la santé

De nombreux hommes abusent de l’utilisation de pilules miracles afin d’améliorer leurs performances sexuelles. Or, cette pratique peut avoir de très graves répercussions sur la santé. En effet, lorsque ces médicaments pour l’érection sont utilisés de manière abusive, récréative, ou sur le trop long terme, cela est alors considéré comme une dérive de l’utilisation et peut engendrer des dommages sur la santé souvent insoupçonnée pour beaucoup, et malheureusement parfois irréversible. Voici une liste des effets que peut entrainer la prise abusive de ce médicament :

Un infarctus de myocarde grave
Un arrêt cardiaque
Une hémorragie cérébro-vasculaire
De l’hypertension
De l’hypotension

Il est donc préférable de ne pas utiliser ces pilules dites miracles sans l’encadrement de votre médecin ou d’un spécialiste de la santé. Ces pilules ne sont pas à prendre à la légère. Utilisées occasionnellement, elles sont souvent sans conséquence, mais même pour une utilisation occasionnelle il est tout de même préférable de consulter. Souvent, l’homme pense en avoir besoin alors qu’une solution alternative plus saine et plus naturelle peut être envisagée. En effet, l’utilisation de ces pilules doit être un dernier recours en cas de troubles sexuels.

La rédaction

Forme et bien-être 20 mars 2018

Quels sont les traitements contre le lumbago ?

Le lumbago est une douleur située au niveau des muscles. Cette dernière est due à une contracture musculaire des muscles se trouvant dans le bas du dos, notamment dans la région lombaire. Lorsque vous effectuez un effort inadapté, la douleur attaque de manière violente et subite.

Plusieurs facteurs peuvent entraîner un lumbago. Cela peut être un décalage d’une vertèbre, un problème digestif, un problème émotionnel, un problème énergétique ou un problème duremérien, à savoir le système nerveux central. Alors, pour soigner ce problème voici les traitements les plus appropriés.

Le traitement médicamenteux

Afin de soulager la douleur suite à un lumbago, le médecin prescrit un traitement médicamenteux classique comme les anti-inflammatoires, les antalgiques ou encore les myorelaxants visant à calmer la douleur. À noter que les myorelaxants sont à base de thiocolchicoside, de ce fait, ils ne sont plus remboursés, et cela à partir du 2 janvier 2018.

Certes, dès la prise de ces médicaments, la douleur disparaît instantanément. Toutefois, au moment de son arrêt, la douleur revient ; nécessitant ainsi une prise continue de ces médicaments. Il n’est pas rare que le médecin propose le port de ceintures lombaires permettant de soutenir la colonne lombaire. L’objectif de ces ceintures est d’éviter les mouvements brusques qui peuvent déclencher le lumbago.

La kinésithérapie

Parmi les traitements contre le lumbago, il faut noter certainement la kinésithérapie. Les patients qui souffrent de cette douleur sont souvent envoyés par leur médecin traitant auprès d’un kinésithérapeute. Le rôle de ce praticien est de renforcer la sangle abdominale et les muscles lombaires.

Ce type de traitement est souvent prescrit si aucun déplacement de vertèbre n’a été enregistré. Dans le cas contraire, les massages en kinésithérapie ne seront pas suffisants pour soigner cette pathologie. L’avantage de consulter un kinésithérapeute en cas de lumbago, est que ce professionnel effectue des massages qui permettent de détendre les muscles, mais également, il enseigne les bonnes postures à adopter afin de protéger la colonne vertébrale.

Si vous ne souffrez pas de lumbago, mais d’une simple douleur du dos, vous pouvez consulter un coach spécialisé dans les exercices de relaxation, d’étirement et de musculation. Ce professionnel vous propose également son aide sur les gestes à adopter afin d’éviter une douleur au dos souvent irréversible.

L’ostéopathie et l’acupuncture

Si vous êtes à la recherche de la meilleure manière qui vous permet de traiter un problème de lumbago, l’ostéopathie est sans aucun doute le meilleur traitement qui puisse exister. Cela est dû au fait que ce traitement permet de traiter une vertèbre qui s’est déplacée tout en relâchant les muscles. De plus, il traite la maladie à son origine en travaillant sur les organes. Ainsi, si le lumbago est généré à cause d’un problème au niveau de l’appareil digestif, le traitement ciblera cet organe afin d’éradiquer la maladie à sa source.

Les bienfaits de l’ostéopathie ne sont pas limités à cela, il permet également de viser la dure-mère, le crâne ainsi que les vertèbres cervicales. Outre l’ostéopathie, vous pouvez également opter pour l’acupuncture, étant donné que les deux traitements offrent les mêmes résultats à une différence près. En effet, l’acupuncture utilise des minuscules aiguilles pour piquer différentes zones du corps afin de résoudre le problème à sa source, tout comme l’ostéopathie.

La rédaction

Médicaments 16 mars 2018

Le service de santé français décrypté par Samassur

Le système de santé français est généralement reconnu comme offrant l’un des meilleurs services de santé publique au monde. Surtout, c’est un système qui fonctionne, qui offre une couverture universelle et qui est fortement défendu par pratiquement tout le monde en France. Le point avec Samassur, spécialiste en complémentaire santé.

Le système de santé français est constitué d’un réseau entièrement intégré d’hôpitaux publics, d’hôpitaux privés, de médecins et d’autres prestataires. C’est un service universel, fournissant des soins de santé à tous les citoyens, indépendamment de leur richesse, de leur âge ou de leur statut social.

Financement des soins de santé en France

Le système de santé français est financé en partie par des cotisations de santé obligatoires. Ces cotisations sont prélevées sur tous les salaires, et payées par les employeurs, les salariés et les travailleurs indépendants.

En partie par le financement du gouvernement central
En partie par les utilisateurs qui normalement doivent payer une petite fraction du coût de la plupart des actes de soins de santé qu’ils reçoivent.

L’évolution de la qualité du système de santé français

D’après Samassur.fr, les difficultés économiques de ces dernières années en France, combinées au vieillissement de la population, ont impacté le bon fonctionnement du système de santé français

Des points noirs ont commencé à apparaître. Des plafonds sur le nombre d’étudiants en médecine et en soins infirmiers ont récemment été relevés, et les niveaux de remboursement pour les traitements non essentiels ont été réduits – bien que des régimes d’assurance maladie complémentaire et contributive, appelés mutuelles santé, aient pris une part importante.

Néanmoins en Europe, le système de santé français reste l’un des meilleurs. En outre, le coût des médicaments en France est parmi les plus bas d’Europe. Une enquête du ministère britannique de la santé en 2008 sur le coût des médicaments dans l’Union Européenne a révélé que les prix des médicaments en France étaient environ 10% inférieurs à ceux du Royaume-Uni.

Comment fonctionne le système de santé français ?

« Le système de santé français est relativement simple pour ses utilisateurs » souligne Samassur. Les soins de santé sont assurés par un réseau de 23 000 médecins généralistes (soit un médecin généraliste pour 2600 habitants). La plupart des généralistes sont des professionnels indépendants. Il travaillent soit seuls, soit dans des cabinets de groupe. Chaque citoyen choisit son médecin traitant et le déclare à la sécurité sociale. Les citoyens peuvent également consulter tout autre médecin de leur choix. Néanmoins, seul le médecin traitant est autorisé à diriger les patients vers un spécialiste ou un autre fournisseur de soins de santé.

Le coût des prestations de santé

Samassur rappelle que les patients doivent payer un montant forfaitaire pour toute visite chez un médecin généraliste. Le coût en 2017 est de 23 € par visite, inchangé depuis 4 ans, quel que soit le temps pris. Mais ce prix est plus élevé pour les visites le week-end et pour les visites à domicile. La plupart des coûts seront automatiquement remboursés au patient par son fournisseur de mutuelle santé, laissant au patient entre zéro et 6 euros pour payer un voyage standard chez le médecin, selon le type d’assurance maladie qu’il a et son état médical.

Des difficultés courantes

A l’instar des régimes d’assurance maladie dans le monde, le régime public d’assurance maladie a du mal à joindre les deux bouts. Il s’appuie de plus en plus sur les recharges du budget général de l’Etat.

Le vieillissement de la population et l’explosion des coûts des soins de santé ont exercé d’énormes pressions sur le système. Les taux de remboursement ont été réduits au cours des dernières années et certaines contributions ont augmenté. Les gens se plaignent du coût, mais parallèlement, très peu de voix se font entendre en France pour demander une réduction des services fournis.

Bref, tout le monde sait que la France a l’un des meilleurs services de santé au monde, sinon le meilleur. Samassur souligne qu’il crée l’envie de beaucoup d’autres pays.

La rédaction

Tabac 14 mars 2018

La cigarette électronique est-elle réellement efficace pour arrêter le tabac ?

Les fumeurs octroient de nombreuses qualités à la cigarette électronique. Cette cigarette innovante présente notamment des effets positifs sur la santé de ses utilisateurs. Les doutes planent, cependant, en ce qui concerne la question de l’efficacité de cet outil dans le processus de sevrage tabagique. Aucune preuve scientifique ne peut encore confirmer cette information. Toutefois, quelques études permettent d’accorder que le tabac électronique peut jouer un rôle dans la réussite du sevrage.

La cigarette électronique : meilleur allié pour réduire sa consommation

D’après les études menées auprès de la majorité des vapoteurs, l’utilisation de la cigarette électronique permet tout d’abord de réduire la consommation quotidienne de tabac par rapport à l’usage de cigarette traditionnelle. En plus donc de permettre d’avoir les mêmes sensations que la cigarette de base (parfums, saveurs, toucher…), l’e-cigarette permet aussi de diminuer constamment l’addiction à travers différents paramètres.

Les composants de la cigarette traditionnelle comme la nicotine sont responsables de l’addiction des fumeurs. En adoptant la cigarette électronique, les fumeurs peuvent réduire progressivement leur consommation de nicotine jusqu’à ne plus en ingérer.

La vapeur émise par les e-cigarettes ne contient aucune substance toxique. Elle est donc inoffensive pour le fumeur actif et les personnes qui l’ingèrent de façon passive. Le fonctionnement de l’e-cigarette ne repose pas sur la combustion. Son utilisation ne présente donc pas d’impacts négatifs sur les poumons des vapoteurs. La combustion de la cigarette traditionnelle constitue notamment le facteur principal du dysfonctionnement des artères.

L’usage de la cigarette innovante permet au fumeur d’avoir les mêmes gestes et de garder les mêmes habitudes, tout en ayant une meilleure santé. Vapoter est un excellent moyen de faire des économies, de rester en bonne santé mais aussi de commencer à se sortir de l’addiction au tabac.

Cigarette électronique : arrêter de fumer devient moins contraignante

Le vapoteur qui veut cesser de fumer peut choisir des produits contenant des taux de nicotine réduits. Le fumeur d’e-cigarette peut contrôler entièrement le taux de nicotine présent dans sa cigarette en fonction des besoins et de ses habitudes mais également et surtout selon ses objectifs. La teneur en nicotine doit d’abord être fixé selon les anciens besoins (grande dépendance, moyenne, aucune dépendance) pour une première consommation. Les utilisateurs peuvent ensuite réduire la composition de manière progressive.

Les adeptes de la cigarette électronique peuvent réaliser eux-mêmes leurs propres e-liquides afin de pouvoir facilement atteindre leurs buts en minimisant la quantité de produits addictifs dans leurs compositions personnelles, en utilisant des bons produits visibles ici. A titre d’exemple, un fumeur confirmé qui prenait 20 tiges de cigarette classique par jour pourra passer d’un besoin en termes de nicotine de 18mg/mL à une consommation moins importante de 12mg/mL.

Il est donc difficile à nier que la prise de la cigarette électronique aide réellement à réduire sa consommation quotidienne de cigarette et contribue considérablement à la réussite du processus d’arrêt du tabac. Malgré qu’aucune preuve concrète de l’efficacité de l’e-cigarette pour la lutte contre l’addiction à la nicotine n’aie été apportée à ce jour, la plupart des personnes qui passent du vrai tabac à la cigarette électronique sont ceux qui désirent arrêter de fumer.

La rédaction

Actualités 9 mars 2018

Ophtalmologue et opticien : quelles différences ?

L’ophtalmologue et l’opticien sont d’abord tous deux des métiers de la vision et sont donc complémentaires. Lorsque vous avez un problème de vue, vous devez passer par un ophtalmologue puis un opticien pour obtenir vos lunettes ou vos lentilles. Mais, quel est le rôle de chacun de ces professionnels dans les soins de vos yeux ?

Que fait un ophtalmologue ?

L’ophtalmologue est un médecin spécialisé dans le traitement des maladies de l’œil et les problèmes de vue. L’ophtalmo reçoit son patient, examine ses yeux et établit des questionnaires permettant d’établir les manifestations de la maladie et ses causes probables. Le rôle de l’ophtalmo ne se limite pas à l’examen de la vision et la prescription de lunettes de vue. Les troubles qui affectent l’œil se traitement également avec des médicaments.

Il prescrit donc les traitements médicaux à suivre. Enfin, il procède à des opérations chirurgicales lorsque celles-ci sont nécessaires en vue de la gravité de la trouble oculaire.

Comment devenir ophtalmologue ?

Après le bac, il faut intégrer un cursus de médecine et suivre une formation de 6 ans. C’est un véritable parcours du combattant parce que souvent seulement 10% des élèves en première année sont admis à entrer en deuxième année. Ensuite, il faut passer un examen national pour se spécialiser en ophtalmologie en internat. La formation dure 5 ans et à terme, l’étudiant fournit une thèse de docteur. Pour parfaire son parcours, le docteur en médecine spécialiste en ophtalmologie peut encore suivre deux années d’études en clinique supplémentaires.

Quel est le rôle de l’opticien ?

L’opticien pour sa part vient compléter la fonction de l’ophtalmologue pour corriger la vision. Il fait faire des tests de vision au patient qui vient de consulter un ophtalmologue. Il précise le diagnostic en prescrivant une nouvelle ordonnance.

Le but est d’apporter la meilleure correction de vision au patient. Mais son plus grand rôle est celui de conseiller le patient sur le choix de ses lunettes ou ses lentilles. Ensuite, c’est également un technicien qui va monter les verres sur la monture choisie et adapter les lentilles de contact selon la morphologie oculaire du patient. L’opticien travaille souvent en boutique et assure également le service après-vente.

Il rectifie les montures, nettoie les lunettes grâce aux ultrasons. En tout cas, si le patient ressent une gêne sur l’utilisation de ses lunettes ou ses lentilles, il doit s’adresser à l’opticien.

Quelles études pour être opticien ?

L’opticien n’est pas un docteur et la formation dispensée par une école spécialisée comme l’ISO est bien moins longue que celle de l’ophtalmologue. Il suffit d’avoir un BTS opticien, deux années partagées en cours et en stage en entreprise. L’opticien a une triple qualification : technique, commerciale et professionnelle. Il doit maîtriser les appareils permettant de tester la vue du patient, de monter les lunettes, d’ajuster les montures et les lentilles.

Il doit être très attentif et fort de proposition pour vendre ses produits.
Les rôles de l’ophtalmologue et de l’opticien sont complémentaires et inséparables pour contribuer à la santé et au bien-être des yeux de leurs patients.

La rédaction

Tabac 2 mars 2018

Diminuer sa consommation de tabac avec la cigarette électronique

Le sevrage tabagique est plus facile grâce à l’e-cigarette. Depuis ces dernières années, bon nombre de grands fumeurs choisissent ce nouveau type de tabac pour leur consommation. Les nouvelles technologies proposent en effet de nouveaux horizons aux fumeurs. Une cigarette aromatisée est donc accessible.

Fumer autrement avec la cigarette électronique

L’e-cigarette est une nouvelle manière d’apprécier le tabac. En effet, contrairement à la cigarette traditionnelle, elle se vapote. Constituée d’un E.-liquide, elle contribue à diminuer la teneur en nicotine. Le fumeur va en effet inhaler de la vapeur aromatisée à la nicotine. Il n’y a donc pas d’inhalation de fumée. En plus de cela, la consommation de la cigarette électronique peut ne pas déranger son voisin. Il existe en effet des E.-liquides parfumés aux fruits ou à des saveurs gourmandes.

Il revient donc à chaque vapoteur de choisir un arôme naturel. Plusieurs magasins spécialisés proposent ces produits. D’autres boutiques en ligne offrent également un service de livraison pour faciliter l’achat de leurs clients. Ainsi, les fumeurs peuvent choisir par une sélection de cigarette électronique. Ils ont aussi la possibilité de sélectionner l’E.-liquide qui leur convient. Les plus grandes marques iront même jusqu’à proposer des produits customisables.

Les avantages de la cigarette électronique

L’e-cigarette permet avant tout de procurer du plaisir. Les fumeurs peuvent donc apprécier une bonne cigarette sans les méfaits de la nicotine. Elle offre les mêmes sensations que la cigarette traditionnelle sauf qu’elle contient moins de substances chimiques. En plus de cela, ce type de cigarettes propose plus de saveurs aux fumeurs. La vapote ne se limite pas à la consommation d’un tabac à base de nicotine. Elle peut aussi procurer des sensations identiques lorsqu’on fume la cigarette classique. Dans ce dernier cas, le fumeur a une haleine plus fraîche, car l’E.-liquide est aromatisée par des parfums gourmands.

L’avantage de la cigarette électronique est qu’elle est moins nocive. Elle est donc autorisée dans certains lieux publics. Elle est également moins chère pour les fumeurs. Il faut toutefois avoir un matériel adapté pour pouvoir apprécier les bienfaits de la cigarette électronique. Un kit de départ est vendu aux alentours d’une soixantaine d’euros. Il est composé de l’appareil en lui-même et de quelques accessoires indispensables pour son entretien. Des recharges sont aussi disponibles dans les boutiques spécialisées. Il faut savoir que l’e-cigarette est également économique pour les fumeurs. En effet, un e-liquide peut être consommé plusieurs fois. En plus, son prix est assez accessible.