Comment soigner un rhume au plus vite ?

Vous avez un rendez-vous galant dans quelques jours, mais vous sentez que vous êtes en train de vous enrhumer ? Vous craignez de ne plus être suffisamment productif au travail à cause de vos symptômes ? En général, cet état dure entre 4 et 10 jours.

Mais en s’y prenant bien, il est tout à fait possible de moucher ce problème en deux deux. Voici quelques conseils pour essayer de guérir d’un rhume le plus rapidement possible.

Les bon réflexes contre un rhume

Il est possible de très vite diagnostiquer vous-même un rhume. Les signes sont reconnaissables : nez qui coule et qui se bouche, douleur à la gorge, sensation de conscience cotonneuse et de fatigue…

Dès que vous percevez ces phénomènes, vous pouvez bien sûr choisir de rendre visite à votre médecin. Il vous aidera à combattre au mieux les symptômes. Mais il n’existe aucun réel remède capable de réellement s’attaquer au virus qui vous a infecté et de le détruire ! Vous êtes obligé d’attendre qu’il passe tout seul.

N’hésitez donc pas à adopter quelques gestes simples pour vous aider à lutter du mieux possible :

  • La cuillère de miel : nos amies les abeilles nous fournissent un véritable stimulant pour le système immunitaire, qui en plus de cela comporte des vertus antiseptiques. Une cuillère à soupe de miel vous mettra dans de bonnes dispositions pour combattre le virus. Vous pouvez aussi la mélanger avec un peu de lait chaud.

  • L’ail cru : consommez une gousse écrasée et laissée à l’air libre pendant un quart d’heure environ, afin que l’allicine qu’elle contient puisse vous faire profiter de ses propriétés antibactériennes.
  • La vitamine C : en guise de prévention mais aussi et surtout pour réduire la durée d’un rhume, faire le plein de vitamine C est important. Les oranges, les kiwis, les fraises et les légumes verts en sont très riches. N’hésitez donc pas à abuser des végétaux que vous trouverez en cliquant ici.
  • Buvez de l’eau, beaucoup : de l’eau plate classique ou un thé vous feront du bien. Buvez également beaucoup de boissons chaudes. Le liquide rendra plus fluides vos miasmes et vos sécrétions, ce qui vous permettra de les évacuer plus facilement. Vous éviterez aussi de vous déshydrater. D’autre part, la chaleur contribuera à décongestionner votre nez.

Se moucher et décongestionner le nez

Il s’agit pour vous de trouver le juste équilibre. Vous moucher régulièrement permettra d’évacuer les mucosités logées dans vos narines et vos sinus. Mais le faire trop pourrait contribuer à aggraver votre situation. Vous ne devez donc pas en faire plus que nécessaire.

Pour vous déboucher le nez lorsqu’un rhume vous assaille, vous pouvez également opter pour des solutions nasales à base d’eau de mer. Elles sont très efficaces pour vous nettoyer les cavités en douceur. N’hésitez pas non plus à réaliser quelques séances d’inhalation de vapeur. En ce sens, prendre une douche chaude vous aidera à aller mieux.

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Reposez-vous, restez au chaud

Si vous êtes tombé malade, c’est sans doute parce que vous n’avez pas assez dormi dans les jours qui précédaient. En manque de sommeil, le corps est plus fragile et les intrus peuvent plus facilement s’infiltrer dans votre organisme. Si vous en avez la possibilité, n’hésitez donc pas à rester chez vous pour travailler. Sinon, prenez un congé maladie.

Rester au chaud vous permettra par ailleurs de transpirer, et d’ainsi évacuer toutes les toxines de votre corps. Pouvoir dormir convenablement, longtemps et dans la chaleur est donc essentiel pour guérir rapidement.

Evitez donc de garder les yeux rivés sur un écran le soir, au moment de vous endormir. Ces derniers sont excitants pour le cerveau et troublent les mécanismes du sommeil. Préférez un bon bouquin. Enfin, pensez à mettre en place un humidificateur d’air dans la pièce où vous dormez, afin que la chaleur ne soit pas sèche et n’aggrave pas votre situation.

Toute l'équipe astuce-santé vous souhaite la bienvenue, cher internaute en quête de réponses. Et des réponses, nous en avons plein notre besace puisque nous veillons à communiquer, via les articles publiés sur ce blog, un maximum d'informations fiables et vérifiées concernant la santé, de l'alimentation jusqu'aux pratiques médicales dans tous leurs états. Peut-être cherchez vous à comprendre l'origine de vos maux ? Ou peut-être voulez-vous simplement en savoir plus sur les astuces à appliquer au quotidien pour être en bonne santé ? Nous vous souhaitons une agréable lecture et, le cas échéant, un bon rétablissement !

    Que penser de l’homéopathie ?

    L’homéopathie est soumise à débat dans le domaine médical. Vantée pour ses mérites par certains, qualifiée de placebo par d’autres, elle ne met personne d’accord. Si vous êtes adepte des méthodes naturelles et douces, vous êtes peut-être tenté par cette pratique. Voici quelques éléments d’explication pour vous aider à y voir plus clair.

    Homéopathie : sur le principe

    L’histoire de cette discipline controversée remonte au début du XIXème siècle. C’est Samuel Hahnemann, un médecin allemand, qui est à l’initiative de cette méthode. Elle consiste à diluer certaines substances. S’ils n’étaient pas dilués, ces médicaments engendreraient des symptômes semblables à ceux dont le patient est déjà la proie.

    Hahnemann définit trois principes essentiels à sa discipline. Le premier est la loi de similitude, autrement dit l’idée selon laquelle ce qui rend malade peut aussi guérir. C’est de là qui vient la racine étymologique de cette pratique, puisque « homeo » et « pathos », en grec ancien, signifient « similaire » et « maladie ».

    substance-homeo

    Le deuxième principe défini par Hahnemann est la loi de l’individualisation. En fait, la discipline vise à soigner le malade plutôt que sa pathologie. Elle part du postulat que chaque individu présente des symptômes et des caractéristiques spécifiques lorsqu’il tombe malade. Il s’agit donc de guérir des aspects physiques et biologiques, mais aussi mentaux, psychiques ou encore héréditaires (cliquez ici pour plus d’informations).

    Le dernier principe est le procédé des hautes dilutions. Comme mentionné plus haut, cela consiste à diluer les substances à l’origine de la maladie. Pour ce faire, l’homéopathe utilise de l’eau, ou une solution à base d’eau et d’alcool.

    Ce procédé doit être réitéré jusqu’à ce que la moindre trace de la substance d’origine ait disparu. Il incorpore également des phases de secousse, appelées « succussions », qui seraient indispensable à la bonne préparation du médicament.

    Globalement, cette pratique estime que le corps humain est en mesure de générer lui-même les mécanismes de guérison.

    Qu’en est-il en réalité ?

    L’homéopathie est très éloignée des considérations médicales contemporaines. De nombreuses critiques ont pu lui être adressées :

    • La loi de similitude s’oppose au concept de la médication classique qui veut que pour guérir d’une maladie, anéantir les symptômes, les virus ou les bactéries est indispensable. On administre donc des substances qui ne sont non pas similaires, mais antagonistes aux intrus du corps humain.
    • La loi de l’individualisation se heurte quant à la vision ciblée de la médecine moderne. On cherche davantage à comprendre le fonctionnement de chaque organe, chaque muscle, chaque élément du corps séparément plutôt que comme un tout.
    • Le procédé des hautes dilutions ne fait appel à aucun principe actif. Or, les médicaments d’aujourd’hui font appel à des molécules destinées à agir véritablement sur la chimie du métabolisme.

    Flasche mit Globuli

    Dans ces conditions, les réactions du milieu médical sont partagées. Pour beaucoup de praticiens, les fondements de l’homéopathie ne sont pas scientifiques. Ils reposent davantage sur des croyances qui n’ont pas changé en plus d’un siècle et demi. Un bilan difficile, donc, pour cette discipline que certains thérapeutes considèrent comme valide !

    Car en effet, les homéopathes estiment que leurs détracteurs sont en conflit idéologique avec leurs pratiques. Ils avancent que les remèdes dilués qu’ils utilisent ont une véritable fonction biologique. D’autre part, les liens unissant le patient, le médecin et son médicament contribueraient à la guérison des pathologies.

    Ce qui est sûr, c’est que les deux camps ne sont pas d’accord et risquent de ne pas l’être pendant longtemps. Si aucune étude scientifique n’a pu prouver les bénéfices réels de l’homéopathie, aucune autre n’a pu démontrer qu’elle ne valait pas mieux qu’un effet placebo…

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