Qu’est-ce qu’une augmentation mammaire ?

Selon la Société Internationale de Chirurgie Esthétique et Plastique (ISAPS), l’augmentation mammaire est l’une des opérations les plus pratiquées dans le monde.
Rien qu’en France, plus de 500 000 femmes ont déjà eu recours à ce type d’intervention. Diverses raisons peuvent expliquer pourquoi certaines femmes pratiquent la chirurgie esthétique mammaire.
Les raisons ne sont pas toujours anodines et quand bien même il s’agit d’un simple geste esthétique, cette opération permet de se sentir plus belle et procure un bien-être personnel.

L’augmentation mammaire est une opération chirurgicale du buste consistant à la pose d’une prothèse ou d’un implant en vue de l’augmentation du volume des seins. Ce geste doit être pratiqué par un chirurgien spécialiste en intervention mammaire. Elle est proscrite aux personnes à tendance dépressives, à celles qui ont au-delà de 50 ans et à quiconque désire le faire face à une pression morale.

Dans quel cas peut-on avoir recours à une augmentation des seins ?

Dans la plupart des cas, la raison fondamentale qui motive bon nombre de femmes à avoir recours à l’augmentation mammaire est la taille de leurs seins. Le volume des seins représente pour certaines personnes un signe de féminité prépondérant. Lorsqu’elles jugent que ceux-ci sont trop petits au point de leur créer un complexe social, les patientes se tournent vers des professionnels. Dans d’autres cas, il s’agit d’une perte d’élasticité ou de poitrines tombantes suite à plusieurs grossesses et allaitements. Il peut aussi arriver que les personnes souffrants de cancers aient recours à la chirurgie esthétique dans l’optique d’un bien-être psychologique.

Toutefois, avant de poser cet acte, il est bon de bien mûrir sa décision et de savoir exactement la taille de poitrine qu’on désire obtenir. Les chirurgiens disposent à cet effet d’implants-tests pour vous permettre de faire une mise en condition réelle afin d’éviter plus tard un résultat trop gros ou trop petit.

Les différentes sortes de chirurgie mammaire

Il existe deux procédés de technique pour la chirurgie mammaire. Tout d’abord, la pose d’implants mammaires en silicone ou en sérum physiologique. Ceci consiste à implanter des prothèses en silicone ou du sérum physiologique suivant la taille souhaitée par les patientes. Celles qui optent pour un effet très naturel préfèrent souvent le palper des prothèses en silicone tandis que d’autres préfèrent une poitrine plus imposante. Quel que soit le choix, il en existe diverses tailles de prothèses pour toutes sortes de morphologie.

La seconde technique est la réinjection de graisse. Elle consiste à prélever de la masse adipeuse sur une partie du corps pour la réinjecter au niveau des seins. Il s’agit en d’autres termes d’une lipo aspiration de la graisse qui, une fois purifiée est injectée dans la poitrine. Elle convient mieux aux personnes en chair.

Comment se passe l’opération ?

Ces deux types d’opérations durent environ une heure et la cicatrisation se passe généralement sans aucune complication. Le patient est mis sous anesthésie générale avant le traitement chirurgical. Il peut déjà retrouver sa nouvelle poitrine au bout d’une vingtaine de jours. Il est important de changer régulièrement le bandage et d’éviter les gestes violents. Les cicatrices et les bleues disparaissent complètement au bout d’un mois et demi. Les sensations post-opératoires des implants mammaires posés devant le muscle sont moins douloureuses comparées à ceux placés derrière le muscle. Toutefois, on ne ressent rien pendant l’opération. Il faut compter à peu près deux jours d’hospitalisation. Il est conseillé de porter un soutien-gorge de sport pendant la phase de cicatrisation. Pour un meilleur suivi, il est souhaitable de refaire une visite de contrôle tous les trois mois ou suivant le calendrier prévu par votre chirurgien.

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    Comment avoir une bonne hygiène dentaire ?

    Il est important de bien entretenir ses dents, car elles remplissent de nombreuses fonctions. Soigner les dents est primordial étant donné qu’elles sont un atout de premier ordre en matière de séduction et qu’un beau sourire rime toujours avec une belle dentition. Cet article expose les différents moyens disponibles afin de prendre soin de ses dents.

    Une bonne hygiène dentaire

    Afin de maintenir une bonne santé bucco-dentaire, des soins dentaires au quotidien sont essentiels. Une bonne hygiène dentaire est primordiale pour prendre soin de la santé et conserver ses dents ainsi que ses gencives sainement.

    Ainsi, les règles pour assurer une bonne hygiène dentaire consistent à :

    • Effectuer un brossage utile et régulier des dents après chaque repas pendant au moins 2 minutes. Deux brossages minutieux le matin et le soir sont satisfaisants si les gencives sont en bonne santé.
    • Utiliser un dentifrice adapté qui contient de préférence du fluor pour renforcer l’email et combattre la plaque dentaire.
    • Opter pour une brosse à dents efficace à poils souples et avec une tête de petite dimension afin d’accéder à tous les recoins et d’assurer un brossage utile. Il faut en changer après 3 mois ou quand les poils commencent à se courber.
    • Afin de compléter l’action de la brosse à dents qui n’élimine que 50% de la plaque dentaire, il est conseillé d’utiliser une bossette et un fil dentaire. Les bossettes permettent d’atteindre les zones interdentaires inaccessibles par la brosse à dents et qui favorisent le développement des caries et des problèmes de gencives.

     

    Des visites régulières chez le dentiste

    Il est nécessaire de se rendre chez le dentiste au moins une fois par an afin de confirmer la bonne santé de ses dents. À titre d’exemple, visiter le cabinet dentaire à Antony afin de bénéficier des meilleurs soins pour avoir un sourire éclatant.

    Professionnel dans le domaine, le dentiste peut effectuer différents types de soins dentaires conservateurs et des soins dentaires chirurgicaux.

    Les différents rôles du dentiste donc consistent à :

    • Traiter les caries en enlevant la partie déminéralisée de la dent et en la remplaçant  par un plombage en amalgame ou en composite.
    • Effectuer un détartrage qui compte parmi les soins dentaires les plus demandés. Le détartrage consiste à enlever la plaque dentaire calcifiée ou le tartre visible sur les dents ou sous la gencive.
    • Réaliser un blanchiment dentaireafin de redonner à ses dents une blancheur éclatante sans risque de fragiliser les dents ou d’irriter les muqueuses.
    • Procéder à l’alignement dentaire afin de corriger des défauts, d’améliorer l’alignement des dents ou de mettre en place un appareil dentaire.

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      Comment se forment les professionnels de la santé ?

      Depuis l’avènement de la loi Hôpital, patients, santé et territoire (HSPT) en 2009, le système de formation des professionnels de la santé a été réformé du tout au tout. À travers cet article, vous en apprendrez davantage sur les mécanismes de formation, ainsi que sur les tenants et les aboutissants de ladite réforme.

      Quelles sont les obligations qui s’imposent aux professionnels de formation en matière de formation continue ?

      Depuis 2013, l’obligation de formation continue est devenue une effectivité pour les professionnels de santé qui sont tenus de suivre un programme triennal de Développement Médical Continu.

      En effet, le DPC est une formation au cours de laquelle le professionnel de santé fait une introspection de ses pratiques médicales. À la suite de cette première phase d’analyse, il s’inspire des résultats d’observation pour renforcer ses compétences et actualiser ses connaissances via la formation. L’intérêt du DPC est d’améliorer la qualité et la sécurité des pratiques fournies par les professionnels de Santé.

      Les formations continues pour se former

      En France les formations continues sont dispensées dans pas moins de 75000 organismes de formation, dont 3000 OGDPC. Ces organismes disposent tous d’un label de qualité pédagogique et scientifique qui garantit au participant l’amélioration de ses pratiques professionnelles, et l’actualisation de ses connaissances.

      Les programmes de DPC pour chaque professionnel de santé

      Le contenu des programmes proposés doit être conforme aux orientations nationales ou régionales, respectivement fixées par le Ministère de la Santé et l’Agence Régionales de Santé. Les méthodes et modalités mises en œuvre dans le cadre du DPC, doivent être quant à elles entérinées par la Haute Autorité de la Santé.

      Un programme de DPC pour être exécuté convenablement doit traiter d’un sujet précis, et associer successivement certaines variables comme : l’analyse de la pratique professionnelle, l’assimilation et l’amélioration des connaissances.
      En général, les DPC se déroulent en trois étapes décomposées :

      • L’analyse de la pratique, sur la base d’un questionnaire ou d’un interrogatoire
      • L’acquisition des connaissances, en groupe sous la supervision d’un formateur
      • Et enfin, l’analyse et l’évaluation à distance des connaissances acquises lors de la formation

      Quelles obligations pour les kinésithérapeutes en matière de DPC ?

      À l’instar de tous les professionnels de santé, les kinésithérapeutes sont tenus chaque année de satisfaire à l’obligation de DPC en s’inscrivant à une formation pour masseur kinésithérapeute c’est-à-dire un programme annuel ou pluriel de DPC. Une autre alternative pour cette catégorie de professionnels, reste l’obtention d’un diplôme universitaire, évalué favorablement et reconnu valablement comme un programme de DPC.

      L’obligation du DPC, est permanente. Elle débute une fois la formation initiale achevée, et s’étend tout au long de la vie professionnelle du praticien.
      Le Conseil Régional de l’Ordre des Masseurs-Kinésithérapeutes se charge de contrôler, si les kinésithérapeutes relevant de sa juridiction sont à jour vis-à-vis de l’obligation annuelle de DPC.

      En cas de non-respect de l’obligation de DPC, le CROMK adresse au kinésithérapeute une demande d’explication sur les motifs de cette carence. En fonction du cas, le conseil suggère au fautif un DPC aménagé et personnalisé. S’il arrivait que le mis en cause manque à nouveau à cette obligation, il est alors coupable d’insuffisance professionnelle ; une faute qui peut entraîner une suspension de son droit d’exercer.

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        Allaiter son bébé seulement au biberon, ce n’est pas un crime !

        Certaines personnes estiment que les mères qui ne donnent pas directement le sein à leurs bébés les font souffrir. Même s’il est vrai que l’acte d’allaitement maternel est un geste intime que l’enfant demande souvent, le plus important est que la mère donne du lait à son petit. Nourrir son enfant est l’essentiel, afin de l’aider à bien grandir et à se développer convenablement. Sachez que nombreuses sont les femmes qui optent pour l’usage d’un tire-lait ainsi que la mise en biberon de leurs laits maternels. Il s’agit d’une pratique courante à l’heure actuelle où les mamans travailleuses à temps plein comptent en grand nombre. Elles ont leurs propres raisons en vue de recourir à ce système et bien souvent, celles-ci sont moins superficielles que beaucoup ne le pensent. Il existe des méthodes alternatives au biberon. Détails.

        Les diverses raisons qui poussent à recourir au biberon

        Recourir au biberon n’est certainement pas un crime dans la mesure où diverses causes peuvent pousser la mère à avoir recours à ce procédé. En effet, il se peut tout d’abord qu’elle soit malade. Par exemple, une personne diabétique risquerait de voir son insuline grimpée si elle allaite pendant un temps. Sans être à proprement parler une maladie, la césarienne empêche aussi la montée du lait et oblige la mère à avoir recours à d’autres procédés. Si la maman est aussi hospitalisée, le biberon sera sans doute utilisé car le sein ne sera pas disponible pour le bébé. C’est la solution idéale en l’absence de la maman.

        Ensuite, il est aussi possible qu’elle ne sache tout simplement pas comment s’y prendre. Le bébé peut accuser un développement insuffisant ou il n’arrive pas à téter correctement. Dans d’autres cas, le blocage est plutôt d’ordre psychologique comme le fait que la mère a un complexe par rapport à cette partie de son corps (et ce n’est guère un crime !). Elle a peut-être déjà eu une mauvaise première expérience de l’allaitement (douleur). Le blocage mental peut aussi résulter de sa propre expérience, comme pour celles qui ont subi un viol et qui refusent toute approche intime, même venant de leurs enfants. D’autant plus, si vous donnez des biberons à bébé, le lait est donné en continu tandis qu’au sein il arrive en flux aléatoire.

        Bref, toutes ses raisons justifient amplement le biberon qui demeure une alternative efficace, à condition de respecter certaines exigences.

        Quelles sont les mesures d’accompagnement nécessaires au biberon ?

        Premièrement, pour celles qui remplissent le biberon avec leurs propres laits, il faut savoir que la montée de celle-ci doit être entretenue. En effet, l’organisme n’en produit pas jusqu’à ce que la réserve présente soit épuisée. Aussi, il est essentiel de penser souvent à se vider le sein. Pour cela, le tire-lait biphasé est celui qui est conseillé par les professionnels, même pour celles qui n’ont à nourrir qu’un seul enfant. En effet, ce modèle « pompe » plus efficacement. Cela permet d’alimenter le nourrisson facilement et en douceur. Deuxièmement, il faut veiller à combler l’enfant d’affection, car l’allaitement a aussi cette vertu. N’oubliez pas de câliner votre petit de temps à autre. N’oubliez pas d’utiliser un coussin d’allaitement red castle afin de faire profiter à votre petit de moment confortable lors de ses heures ce biberon.

        Il est donc tout à fait possible de ne pas allaiter son bébé au sein mais seulement avec un biberon. De ce fait, vous pouvez donner son lait au biberon si vous ne voulez pas, ou si vous ne souhaitez pas nourrir votre bébé au sein.

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          Des conseils d’utilisation de l’huile de ricin sur les cheveux

          Pendant des millénaires, l’huile de ricin était utilisée dans de nombreuses civilisations. Elle servait de combustible, mais également de produit de soin pour le corps durant l’époque des pharaons en Égypte. En Inde, elle était surtout réputée pour ses propriétés laxatives et cathartiques. Aujourd’hui, l’essence extraite des graines de ricin intervient dans l’élaboration de produits bio dans l’aromathérapie, la phytothérapie et la production des cosmétiques. Dans cet article, on insistera surtout sur les bienfaits du ricin sur les cheveux.

          Utiliser l’huile de ricin comme masque capillaire

          Grâce à sa forte teneur en vitamine E, en acides gras (oméga 6 et 9) et en acide ricinoléique, l’huile de ricin apporte des bienfaits incontestés pour les cheveux. Le masque capillaire est l’une des utilisations les plus courantes. On l’associe généralement à l’huile de coco, l’argan ou encore à l’huile de jojoba pour obtenir un mélange assurément revitalisant pour les fibres capillaires.

          Le produit s’applique sur une chevelure bien démêlée afin d’éviter la formation de nœuds. En plus d’agir sur les cheveux, l’huile de ricin entretient le cuir chevelu en nourrissant l’épiderme et en ôtant toutes les impuretés. Ensuite, pour que les actifs puissent pénétrer en profondeur, l’utilisation d’une serviette chaude est recommandée. Les professionnels et passionnés conseillent de recourir à ce masque deux à trois fois par semaine pour un résultat plus satisfaisant.

          Un produit bio anti-chute

          Si la chute des cheveux atteint bon nombre de personnes de nos jours, c’est surtout parce qu’il devient plus facile pour les bactéries et les champignons d’affecter le cuir chevelu. Sans oublier le stress quotidien qui semble accroître la formation des plaques d’alopécie. Le problème n’est pas pour autant inévitable puisqu’il est possible de s’en prémunir en utilisant l’huile de ricin. Appliquée comme produit anti-chute bio, cette dernière agit en renforçant la structure des fibres capillaire.

          Les propriétés antifongiques et antibactériennes vont également intervenir au niveau du cuir chevelu afin d’éliminer les micro-organismes responsables de la perte des cheveux. Une fréquence d’utilisation de deux fois par semaine suffira pour traiter le problème. L’huile s’applique directement sur les cheveux avec un temps de pose de 30 minutes.

          L’huile de ricin pour traiter les cheveux secs

          Les cheveux s’exposent continuellement à de nombreuses agressions. Et si les micro-organismes sont les principales causes de dégradation des fibres capillaires, l’utilisation fréquente de produits de synthèse en est aussi une autre. Avec le temps, les cheveux deviennent secs et s’abîment trop facilement. Le ricin, grâce à ses propriétés naturelles, constitue l’une des meilleures solutions pour venir à bout de ce problème. Un bain d’huile de ricin redonnera aux cheveux leur brillance naturelle en adoucissant les fibres. Pour plus d’éclats, l’astuce est d’associer l’huile à d’autres extraits végétaux comme l’huile de coco ou l’argan.

          Les vertus nourrissantes et hydratantes de l’huile de ricin agiront également en donnant plus de volume aux cheveux. Les actifs forment une fine couche qui va servir à protéger la fibre capillaire. Ainsi, cette dernière deviendra plus lisse et plus éclatante. Le produit bio s’applique le soir avant de se coucher. Un temps de pose de deux heures sera indispensable. L’idéal est de laisser les actifs agir toute la nuit pour un meilleur résultat.

          Les professionnels recommandent l’utilisation d’un bonnet auto-chauffant pour éviter que l’huile ne vienne tâcher l’oreiller ou les draps. Le lendemain, il suffit de nettoyer et de rincer le cuir chevelu pour enlever les résidus d’huile restants. Le traitement des cheveux secs sera efficace avec une fréquence d’application d’une à deux fois par semaine pendant un mois.

          Toute l'équipe astuce-santé vous souhaite la bienvenue, cher internaute en quête de réponses. Et des réponses, nous en avons plein notre besace puisque nous veillons à communiquer, via les articles publiés sur ce blog, un maximum d'informations fiables et vérifiées concernant la santé, de l'alimentation jusqu'aux pratiques médicales dans tous leurs états. Peut-être cherchez vous à comprendre l'origine de vos maux ? Ou peut-être voulez-vous simplement en savoir plus sur les astuces à appliquer au quotidien pour être en bonne santé ? Nous vous souhaitons une agréable lecture et, le cas échéant, un bon rétablissement !