Pour rester en bonne santé, chaque individu a besoin d’un sommeil de qualité. On dispose de plusieurs moyens pour y arriver. Utiliser une bonne literie en fait partie.  Cela offre de nombreux avantages en plus de nous permettre de mieux dormir. En effet, une literie de qualité peut aider à soulager certaines douleurs. Il s’agit, entre autres, des douleurs musculaires, du torticolis ou encore de la sciatique. Cette dernière est plutôt fréquente. Il s’agit, en fait, d’une douleur que l’on ressent dans le bas du dos. Celle-ci peut irradier jusqu’au bout des orteils. Ce qui peut grandement perturber notre sommeil. Heureusement, il existe certains moyens de soulager la sciatique. Découvrez quelques-uns dans cet article.

L’essentiel sur la sciatique

La sciatique se définit par une douleur ressentie dans le bas du dos. Cela peut aussi se manifester en des décharges électriques dès le moindre effort. Parfois même, la douleur peut irradier jusqu’au bout de vos orteils. En fait, elle est due à l’irritation ou à la compression du nerf sciatique. Une hernie discale en est principalement la cause. En tout cas, la douleur peut s’installer et s’intensifier si vous utilisez un mauvais matelas. C’est pourquoi il est essentiel d’utiliser un matelas emma confortable. Cela vous permettra non seulement de bien dormir. Mais cela atténuera aussi les douleurs qui résultent de votre sciatique.

Conseils pour soulager votre sciatique

La douleur causée par votre sciatique peut grandement vous gêner pendant le sommeil. De ce fait, vous devez y remédier avant de souffrir des effets du manque de sommeil. Voici alors quelques conseils qui peuvent vous aider à soulager votre sciatique :

• Adopter les bonnes habitudes

Avant de recourir aux médicaments, il existe plusieurs méthodes naturelles pour soulager votre sciatique. Le sport en fait partie. Toutefois, cela est déconseillé si la douleur est insupportable. Vous pouvez aussi adopter quelques bonnes habitudes pour réduire le mal. Vous pouvez alors essayer de vous tenir toujours bien droit. Evitez également de croiser les jambes en étant assis. Et quand vous dormez, l’idéal est de dormir sur le dos, avec les jambes un peu surélevées. En revanche, évitez de dormir sur le ventre, cela accentuera vos douleurs.

• Faire du sport

Le sport est un moyen très efficace pour soulager votre sciatique. Cependant, stoppez toute pratique lorsque vous êtes en pleine crise. Sinon, effectuez une activité physique régulière (marche, vélo, course…). Cela vous aidera à renforcer vos muscles et notamment votre ceinture abdominale. Ce n’est qu’ainsi que vous pourrez décompresser le nerf sciatique et détendre les muscles autour.

• Effectuer quelques étirements

Il est aussi recommandé d’effectuer des étirements en cas de sciatique. Vous pouvez, par exemple, vous étendre sur le sol. Attrapez ensuite la cuisse droite derrière le genou avec vos deux mains. Puis croisez votre jambe droite sur votre jambe gauche. En ce faisant, veillez à ce que votre tête reste sur le sol. Restez dans cette position durant 30 secondes au moins. Pour qu’il soit efficace, l’exercice est à répéter trois fois de chaque côté. Attention ! Il faut arrêter de faire ces mouvements s’ils accentuent la douleur au lieu de la soulager.

• Utiliser un bon matelas

Certes, contrairement à la plupart des problèmes de dos, la sciatique n’est pas due à l’utilisation d’un mauvais matelas. Mais cela peut accélérer ses symptômes. Alors pour ne pas voir vos douleurs s’aggraver, il vaut mieux utiliser un matelas emma confortable. Grâce au confort qu’il procure, celui-ci vous permettra de bien dormir malgré votre sciatique. Il aide également à empêcher que vos douleurs ne s’intensifient. Certains modèles de matelas peuvent même vous aider à guérir votre sciatique. Il s’agit, en l’occurrence, des matelas qui proposent un soutien ferme, mais avec un accueil moelleux. Ils sont idéaux pour tous ceux qui souffrent de problèmes de dos (sciatique, cervicalgie ou même la scoliose…).

En tout cas, il est conseillé de recourir à des méthodes naturelles avant les médicaments (après consultation).

Les thermomètres médicaux sont des dispositifs qui servent à mesurer et à procéder à l’affichage de la température du corps. Cette mesure offre la possibilité de diagnostiquer la fièvre qui peut être symptôme de plusieurs infections ou maladies. Si le thermomètre médical s’avère un outil d’une grande utilité, il est important de savoir comment en faire le choix pour en tirer le meilleur profit. Comment choisir le thermomètre médical ? Lisez plutôt !

Les critères généraux à prendre en compte pour choisir son thermomètre médical

Il existe plusieurs critères généraux sur lesquels vous pouvez vous baser pour faire le choix de votre thermomètre médical.

La zone d’application

Une mesure de température peut être axillaire, frontale, tympanique, buccale ou encore rectale. La zone choisie dépendra du cas qui se présente. Il existe des thermomètres qui sont spécifiquement adaptés à des applications.

A vous de réussir à jeter votre dévolu sur le thermomètre médical qui peut apporter une solution à votre problème.

Le confort

Vous trouverez sur le marché différentes sortes d’embouts. De façon concrète, il en existe qui sont souples et d’autres qui sont rigides. Certains doivent être utilisés une seule fois afin d’éviter qu’il y ait une contamination entre les malades.

En pédiatrie, il est possible de voir des embouts avec une forme de tétine. Ceux-ci simplifient l’utilisation pour les patients les plus jeunes. Les thermomètres sans contact ont la réputation d’offrir un confort conséquent.

Le type de thermomètre

Il y a de nombreuses sortes de thermomètres médicaux sur le marché. Ils sont répartis en deux grandes catégories : les modèles électroniques et les modèles analogiques standard en verre. Les thermomètres électroniques sont susceptibles d’être infrarouges (sans contact) ou à sonde.

Mesures de sécurité et d’hygiène

Selon l’utilisation qui doit être faite et leur type, les thermomètres médicaux demandent un certain nombre de mesures de sécurité et d’hygiène. Les modèles électroniques à infrarouge, par exemple, n’ont pas besoin du moindre nettoyage après qu’on les a utilisés. Ce n’est pas le cas avec d’autres thermomètres qui doivent être nettoyés de façon assez récurrente.

Les caractéristiques techniques à considérer

En dehors des critères généraux, il existe aussi des caractéristiques techniques qui pourraient guider votre choix.

Rapidité et facilité d’utilisation

Il existe des thermomètres électroniques qui ont un temps de réponse extrêmement rapide. Ils possèdent aussi un écran digital qui permet un affichage assez simple. Les thermomètres à infrarouge offrent une vitesse de lecture qui est quasi instantanée.

Polyvalence

Certains modèles ont de la polyvalence et sont taillés pour être sollicités pour un grand nombre d’utilisations, grâce à la présence de divers embouts.

Précision et fiabilité

La fiabilité et la précision dépendent du respect qui est observé vis-à-vis des consignes d’utilisation et de la zone où la température est mesurée. En ce qui concerne la précision de température, la voie rectale s’avère la plus fiable.

Unités de mesure

La température du corps est indiquée par les thermomètres en degré Celsius ou en Fahrenheit. Les températures se mesurent en Fahrenheit aux Etats-Unis et en degré Celsius dans la majorité des autres pays.

Plage de mesure

La température a des plages de mesure qui sont susceptibles de varier selon les modèles. De façon générale, les plages de mesure fluctuent de 35 °C à 42 °C.

La cigarette électronique, le moyen le plus sûr pour réussir son sevrage tabagique

La cigarette électronique a très vite été adoptée par les fumeurs comme moyen efficace pour mener le combat contre le tabac. Face aux patchs et aux thérapies alternatives, la cigarette électronique a su fait preuve d’une efficacité remarquable. Les raisons de ce succès tiennent à ce que cette cigarette électronique reproduit en tout point les sensations du fumeur : geste, inspiration et expiration de la fumée, goût.

Grâce à son e-liquide dont on peut doser la quantité de nicotine, le fumeur, sur la voie du sevrage tabagique, peut, peu à peu, diminuer sa consommation jusqu’à un arrêt complet. Le temps pour atteindre l’objectif peut être plus ou moins long selon la dépendance dans laquelle était installé le fumeur. Il faut être patient et surtout ne pas vouloir avancer trop vite. À objectif irréaliste correspond bien souvent l’échec. En choisissant de diminuer très progressivement la proportion de nicotine contenue dans la cigarette électronique, le fumer va effectuer son sevrage à son rythme tout en conservant le geste de fumer.

La cigarette électronique, de fumeur à vapoteur

À ce moment du processus, le fumeur vapote un e-liquide sans nicotine. Le fumeur a cessé de l’être. Il est désormais vapoteur. C’est le vapotage plaisir, celui où l’on profite d’arômes et de saveurs choisis que l’on peut varier au gré de ses goûts, des moments ou encore des lieux.

Mais pour certains, le sevrage n’a pas atteint son terme. La dernière étape du sevrage tabagique par cigarette électronique, une fois la dépendance à la nicotine levée, est, dit-on, la nécessité de se déshabituer du geste.

La technique est quasiment la même que celle suivie dans le cadre du sevrage tabagique. Mais il s’agit cette fois de jouer sur les arômes contenus dans le e-liquide. On en diminue progressivement la proportion jusqu’à arriver à une base neutre sans saveur.

Mais la privation du geste reste toutefois difficile à acquérir. On conseille d’allonger les moments sans vapotage, de poser sa cigarette électronique dans un coin en s’interdisant son usage durant des périodes de plus en plus longues jusqu’à voir, là encore, son envie disparaître.

Il n’en reste pas moins que beaucoup de fumeurs, une fois devenus vapoteurs, restent vapoteurs. La cigarette électronique est maintenant vapote et ne contient plus de nicotine.

La cigarette électronique sans nicotine : le plaisir de vapoter

En tant que nouveau produit, la cigarette électronique a été perçue, dans un premier, comme une alternative à la cigarette. Aujourd’hui et plus encore demain, dans un monde sans cigarettes, la vapote va, quant à elle, s’installer comme un objet de plaisir.
Le vapoteur consomme en grande majorité un liquide totalement dépourvu de nicotine. Il choisit au sein des gammes proposées par son fournisseur le mélange qui lui convient. Une envie de sucré ? Une envie de fraîcheur ? Une envie de fruits ? Une émotion à exprimer ? Une envie de boisson rafraîchissante ? Une envie de thé ? Il y a toujours un e-liquide qui y répondra.

Et puis il y a le vapoteur créateur. Tel le mixologue qui crée à l’envi des cocktails aux mélanges inédits, le vapoteur peut lui aussi créer ses propres saveurs. Il suffit de se rendre dans la partie « Do It Yourself » de son fournisseur pour pouvoir réaliser son propre e-liquide. Et pourquoi ne pas lui donner un nom évocateur… Vapoter sans nicotine pour le plaisir est probablement la vraie vocation de la cigarette électronique.